Simon n'a pas de papa. En classe, tout le monde se moque de lui. Il a envie de mourir et veut se jeter à l'eau quand Philippe, le grand et gentil forgeron... Lire la suite 4,95 ⏠Neuf Poche Expédié sous 3 à 6 jours 2,90 ⏠Ebook Téléchargement immédiat 2,49 ⏠Téléchargement immédiat 2,49 ⏠Grand format Actuellement indisponible 4,95 ⏠Actuellement indisponible Simon n'a pas de papa. En classe, tout le monde se moque de lui. Il a envie de mourir et veut se jeter à l'eau quand Philippe, le grand et gentil forgeron du village, passe par là . Date de parution 02/04/2015 Editeur Collection ISBN 978-2-7338-3481-7 EAN 9782733834817 Présentation Broché Nb. de pages 88 pages Poids Kg Dimensions 13,5 cm à 18,0 cm à 0,7 cm
Contient: LE PAPA DE SIMON âą EN VOYAGE âą AUX CHAMPS âą LA CONFESSION âą LE PĂRE âą LE BAPTĂME âą COCO âą MADEMOISELLE PERLE âą BOITELLE. Fonder un foyer, avoir un pĂšre, sauver leur frĂšre ou leur sĆur VoilĂ Ă quoi rĂȘvent les personnages de Maupassant, avant que la rĂ©alitĂ© ne vienne briser leurs innocent Le maquis est la patrie des bergers corses et de quiconque sâest brouillĂ© avec la justice. » RĂ©sumĂ© de la nouvelle La situation initiale La nouvelle commence sous des airs Ă premiĂšre vue de simple description du paysage corse et de ses laboureurs. Nous sommes guidĂ©s par le narrateur Ă travers le maquis, par un chemin tortueux, parsemĂ© de ravins et dâobstacles. Celui-ci nous amĂšne jusquâĂ la demeure de Mateo Falcone, oĂč il vivait avec sa femme et son fils Fortunato. Mateo Falcone Ă©tait un fin tireur, ce qui faisait de lui un homme rĂ©putĂ© et redoutĂ©. Il vivait du produit des troupeaux que des bergers faisaient paĂźtre sur son domaine, et plaçait de grands espoirs en son unique fils. Le fugitif Un jour dâautomne, Mateo et sa femme partirent visiter un troupeau qui paissait dans les montagnes, laissant le jeune Fortunato seul Ă la maison. Celui-ci se prĂ©lassait sur la pelouse ensoleillĂ©e lorsquâil entendit des coups de feu et vit arriver un homme bien mal en point. Lâhomme se prĂ©sentait sous le nom de Sanpiero, poursuivi par les gendarmes. Il demanda Ă Fortunato de le cacher pour ne pas ĂȘtre capturĂ©. Lâenfant prĂ©fĂ©rait attendre le retour de son pĂšre, mais le temps pressait, les gendarmes approchaient. Sanpiero, comprenant que les menaces nâatteignaient pas le jeune corse, lui tendit une piĂšce dâargent. Celui-ci accepta alors de cacher le fugitif dans un tas de foin, effaça les traces de sang et retourna se prĂ©lasser sur sa pelouse. Les gendarmes accoururent, et demandĂšrent Ă Fortunato sâil nâavait pas vu passer un bandit. Loyal, lâenfant rĂ©pondit quâil nâavait rien remarquĂ©. Lâadjudant Ă©tait un cousin Ă©loignĂ© de Fortunato, qui ordonna de fouiller la maison. Lâenfant rĂ©pondait aux questions de son cousin avec impertinence et dĂ©dain, protĂ©gĂ© par le nom de son pĂšre. Les gendarmes ne trouvĂšrent pas le bandit dans la maison, et lâadjudant semblait embarrassĂ©. Lâadjudant eut alors une idĂ©e plutĂŽt que de faire parler sous la menace le fils de Falcone, il valait mieux lâinciter Ă parler en lui offrant un prĂ©sent. Alors il sortit de sa poche une belle montre quâil fit miroiter sous les yeux de Fortunato. AprĂšs plusieurs refus, tiraillĂ© par le dilemme et par les paroles de lâadjudant, il accepta le prĂ©sent et livra le fugitif. Le bandit se dĂ©battait plein de colĂšre contre les gendarmes mais sa blessure lâempĂȘcha de se battre, il fut ligotĂ© solidement. Il profĂ©rait de vives injures Ă celui qui avait jurĂ© de le cacher mais qui nâavait pas tenu sa promesse. A ce moment-lĂ arrivĂšrent Mateo et sa femme. Voyant des gendarmes autour de sa demeure, Mateo se mit en joue, prĂȘt Ă ouvrir le feu. Il nâavait rien Ă se reprocher et ne comprenait pas la prĂ©sence de ces hommes armĂ©s. Le dĂ©nouement Lâadjudant avança vers Mateo paisiblement, et salua Falcone, qui baissa son arme. Il lui expliqua quâils venaient dâattraper un bandit qui Ă©tait cachĂ© chez eux. Lâadjudant semblait heureux de cela, mais Mateo pestait entre ses dents. Le bandit traita lâenfant de traĂźtre et il fut emmenĂ© par les gendarmes. Lorsquâils furent seuls, Mateo mit son fusil sur son Ă©paule et demanda Ă son fils de le suivre. Il lâemmena dans le maquis, lui demanda de dire ses priĂšres et le tua, puis lâenterra. Analyse La Corse Cette trĂšs courte nouvelle raconte une histoire corse sans Ă©tats dâĂąme. Le narrateur dĂ©crit les faits, et il ne donne presque jamais son opinion mĂȘme au cours de la scĂšne finale, directe et expĂ©ditive. MĂ©rimĂ©e connait la Corse. Bien quâil ne soit pas originaire de lâile, il y sĂ©journe suffisamment longtemps pour suffisamment cerner le caractĂšre bien trempĂ© de ces habitants. La description du paysage au dĂ©part nâest pas anodine un pays est hostile engendre des habitants dangereux, dans le maquis cohabitent des bergers, des paysans et des bandits. On apprend Ă quel point il est important de manier son fusil pour vivre en paix sur lâĂźle, et le narrateur, qui nâavait pas lâair de beaucoup sâattacher aux dĂ©tails, est trĂšs prĂ©cis quant aux performances de Falcone avec son arme. Les caractĂšres corses Fortunato, le jeune fils de Mateo, est encore un enfant. A ce titre, il en rĂ©fĂšre Ă son pĂšre dĂšs quâil doit prendre une dĂ©cision lorsque Sanpiero arrive, Fortunato lui propose dâabord dâattendre le retour de son pĂšre, et de mĂȘme, lorsque les gendarmes accourent, il se protĂšge derriĂšre le nom de son pĂšre. Cette obĂ©issance et cette subordination est assez fragile lorsquâil doit prendre une dĂ©cision, Fortunato nâobĂ©it plus aux prĂ©ceptes de son pĂšre. Fortunato reprĂ©sente la cupiditĂ© il nâest pas enclin Ă aider le fuyard, puis, Ă la vue de la piĂšce dâargent, accepte de le cacher. De mĂȘme, alors il quâil tient tĂȘte aux gendarmes en se moquant dâeux, la montre quâon lui propose en Ă©change de la cachette du bandit le fait basculer. Il cĂšde, et vend Sanpiero contre la montre dâargent. Mateo Falcone incarne lâhonneur corse il vit noblement mythe du bon seigneur et sâest dĂ©barrassĂ© dâun rival en amour pour Ă©pouser sa femme mythe du chevalier servant sa dame. De mĂȘme, apprenant que son fils, qui avait promis de cacher un fuyard sous son toit, lâa ensuite vendu sans vergogne, il doit venger lâhonneur de sa famille entachĂ© par la cupiditĂ© du fils. Alors sans hĂ©siter, il tue son hĂ©ritier. TĂ©lĂ©chargerBoule de suif. 1. RĂ©sumĂ© de Boule de suif. AbandonnĂ©e par les «lambeaux dâune armĂ©e en dĂ©route», la ville de Rouen est envahie par les Prussiens qui trouvent chez les «bourgeois bedonnants, Ă©masculĂ©s par le commerce», un accueil plutĂŽt complaisant, Ă quelques actes de rĂ©sistance prĂšs. Dans la citĂ© occupĂ©e, «le 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID QYCZ5Ipf4vpZJ89d3M9DLcp9b_YT1EVMzNogMbkUIgmPWYv94hGYxA== RĂ©sumĂ©du document « Le Papa de Simon » : premier jour d'Ă©cole de Simon, fils de Blanchotte que les mĂšres traitent avec compassion mĂ©prisante. Enfants ne connaissent pas Simon, qui ne sort jms, mais ne l'aiment pas et se moquent de lui car il n'a pas de pĂšre => le regardent comme « ĂȘtre hors de nature », et mĂ©prisent Blanchotte. AccueilRĂ©sumĂ©Maupassant, Le papa de Simon rĂ©sumĂ© Maupassant, Le papa de Simon rĂ©sumĂ©L'identification de l'oeuvre Personnages Le petit Simon; Philippe Remy, le forgeron; La Blanchotte, mĂšre de Simon; Les camarades de classe de SimonGenre Nouvelle , FictionParution 1er dĂ©cembre 1879, dans; La RĂ©forme politique, littĂ©raire, philosophique, scientifique et Ă©conomiqueRĂ©sumĂ©Lâhistoire prend place dans un petit village de campagne français. On y dĂ©couvre Simon, un enfant de sept ou huit ans, qui fait son premier jour dâĂ©cole. Câest sans doute la premiĂšre fois quâil sort de sa maison et quâil rencontre dâautres personnes. Mais Ă la sortie des cours, il est moquĂ© et insultĂ© par ses camarades parce quâil nâa pas de pĂšre. Il vit en effet seul avec sa mĂšre cĂ©libataire, la Blanchotte, qui souffre dâune mauvaise rĂ©putation dans tout le village pour avoir eu un fils en dehors du mariage. Simon pĂątit de tout cela, puisque les enfants rĂ©pĂštent finalement tout ce que disent leurs affectĂ© par les remarques dĂ©sobligeantes des autres enfants, Simon court en larmes Ă la riviĂšre pour sây jeter et en finir. Par chance, il rencontre soudainement Philippe RĂ©my, un forgeron du coin, qui le console et le prend sous son aile. Le petit garçon lui demande sâil veut bien devenir son pĂšre, celui-ci accepte et le raccompagne chez lui. Mais cela ne suffit pas Ă mettre fin aux moqueries les enfants Ă lâĂ©cole continuent Ă le harceler, parce que Philippe nâest pas le mari de sa va donc se rendre Ă la forge pour se plaindre. Sous les conseils avisĂ©s de ses collĂšgues, le forgeron va finalement demander la main de la Blanchotte et Simon nâaura enfin plus dâennuis.