Enoutre, le T11 express (ex-« Tangentielle Nord »), nouvelle ligne de tram-train dont l'exploitation a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  Transkeo, filiale de la SNCF-Transilien et de Keolis, a Ă©tĂ© mise en service le 1 er juillet 2017 sur le tronçon allant d'Épinay-sur-Seine au Bourget (soit 11 km), desservant 7 gares [11]. À terme, la ligne devrait ĂȘtre prolongĂ©e, en Seine-Saint-Denis, La grande chancellerie de la LĂ©gion d’honneur produit et conserve de nombreuses archives. Biographies de plus de deux millions de dĂ©corĂ©s, dossiers d’élĂšves des maisons d’éducation, documents historiques sur les dĂ©corations et les bĂątiments de la LĂ©gion d’honneur ces Ă©lĂ©ments constituent un patrimoine d’une grande richesse. DĂ©corĂ©s et dĂ©corations Les dossiers de dĂ©corĂ©s couvrent une pĂ©riode de plus de 200 ans, de la crĂ©ation de la LĂ©gion d’honneur en 1802 Ă  nos jours. Les biographies de 900 000 membres de la LĂ©gion d’honneur, un million de titulaires de la MĂ©daille militaire et de 330 000 membres de l’ordre national du MĂ©rite sont ainsi rĂ©pertoriĂ©es. Ces dossiers sont d’une grande valeur pour les historiens et les sociologues, ainsi que pour toute personne s’intĂ©ressant Ă  sa gĂ©nĂ©alogie. La grande chancellerie dispose aussi de documents prĂ©cieux sur la crĂ©ation et les Ă©volutions de chacune des distinctions qu’elle gĂšre. Illustration Annales nĂ©crologiques de la LĂ©gion d’honneur Maisons d’éducation de la LĂ©gion d’honneur Les 60 000 dossiers d’élĂšves et ceux du personnel sont autant de tĂ©moins de la vie quotidienne dans les maisons d’éducation depuis leur crĂ©ation en 1805. Des documents sur la crĂ©ation de ces Ă©coles par NapolĂ©on Ier et les rĂšglements successifs permettent aussi d’en comprendre l’évolution Ă  travers les Ă©poques. Illustration Lettre de NapolĂ©on au grand chancelier LacĂ©pĂšde sur les maisons d’éducation, 1807 MusĂ©e Le musĂ©e conserve un important fonds d’archives historiques sur les ordres français, de l’Ancien RĂ©gime Ă  nos jours. Des Ă©lĂ©ments sur sa genĂšse et les dons et legs qui ont enrichi ses collections retracent son histoire depuis son ouverture en 1925. Illustration Manuscrit du chant des partisans, 1943 BĂątiments HĂŽtel de Salm, chĂąteau d’Ecouen, ancienne abbaye royale de Saint-Denis, ancien couvent des Loges Ă  Saint-Germain-en-Laye les prestigieux bĂątiments de la LĂ©gion d’honneur ont fait l’objet de nombreux amĂ©nagements et restaurations consignĂ©s Ă  chaque Ă©poque. Une histoire de ces lieux et des pratiques architecturales se dĂ©gage des documents conservĂ©s. Illustration Titre de propriĂ©tĂ© du palais de la LĂ©gion d’honneur, 1804 AccessibilitĂ© Les archives de la grande chancellerie font l'objet d'un projet de sauvegarde et de valorisation en cours de rĂ©alisation. Elles ne sont Ă  ce jour que partiellement accessibles archives des dĂ©corĂ©s de la LĂ©gion d'honneur, de la MĂ©daille militaire ou de l'ordre national du MĂ©rite archives sur l'histoire des dĂ©corations françaises, d'Ancien RĂ©gime, des XIXe et XXe siĂšcles
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Lesdémarches de ma commune. Demande d'acte. Elections. Recensement citoyen. Identité passeport. Déclaration état-Civil. Attestation d'accueil. A votre écoute.
SociĂ©tĂ© Quatre ans aprĂšs les Ă©meutes urbaines de l'automne 2005, le "neuf-trois" connaĂźt une situation inĂ©dite, oĂč chĂŽmage de masse et insĂ©curitĂ© voisinent avec des zones engagĂ©es dans la compĂ©tition Ă©conomique mondiale. Quatre ans aprĂšs la "crise des banlieues", dĂ©clenchĂ©e par le dĂ©cĂšs de deux adolescents poursuivis par la police Ă  Clichy-sous-Bois le 27 octobre 2005, la Seine-Saint-Denis connaĂźt toujours une situation exceptionnelle. MalgrĂ© la multiplication des annonces ministĂ©rielles, le dĂ©partement n'a pas rattrapĂ© son retard en termes d'emploi, d'Ă©ducation et de sĂ©curitĂ©. La nouveautĂ©, c'est que, Ă  cĂŽtĂ© des zones extrĂȘmement pauvres, se sont dĂ©veloppĂ©s des territoires en pleine explosion Ă©conomique. D'oĂč une question cruciale pour le dĂ©partement et ses 1,5 million d'habitants comment faire coexister des ghettos sociaux et ethniques et des territoires plongĂ©s dans la compĂ©tition Ă©conomique mondiale ? Radiographie en six points et sans tabous du dĂ©partement français le plus visitĂ© par les ministres de la RĂ©publique. L'immigration, comment faire face ? Bobigny, lundi 19 octobre, 7 heures du matin, - 2 degrĂ©s. Comme tous les jours de la semaine, des grappes d'hommes attendent d'ĂȘtre embauchĂ©s devant l'entrĂ©e de Batkor, un dĂ©pĂŽt de bricolage situĂ© sur la nationale 3. Au vu et au su de tous, une trentaine de clandestins proposent leur main-d'oeuvre aux entreprises du bĂątiment ou aux particuliers. A partir de 70 ou 80 euros la journĂ©e pour un plĂątrier, un plombier ou un maçon. Moins cher encore en nĂ©gociant les tarifs. La plupart attendent des heures sans succĂšs. Trop de concurrence "Il n'y a pas beaucoup de clients mais beaucoup de monde qui veut se faire embaucher", se dĂ©sole Hassan, Turc d'une quarantaine d'annĂ©es qui essaie de se rĂ©chauffer en attendant un Ă©ventuel client. MĂȘme si le lieu est connu de la police et des Ă©lus depuis des annĂ©es, les interventions n'y font rien comme l'immigration n'arrĂȘte jamais en Seine-Saint-Denis, porte d'entrĂ©e sur le territoire français avec l'aĂ©roport de Roissy, de nouveaux candidats se prĂ©sentent tous les jours, Ă©tĂ© comme hiver, pour tenter de gagner leur vie. Et les derniers arrivĂ©s remplacent ceux qui finissent par trouver des emplois moins exposĂ©s. Entre 1999 et 2006, malgrĂ© les politiques de restriction affichĂ©es par l'Etat, le nombre d'Ă©trangers dans le dĂ©partement a encore progressĂ© de 22,4 % alors que, dans le mĂȘme temps, le nombre de Français augmentait seulement de 3,7 %. Dans certaines villes, la proportion d'Ă©trangers dĂ©passe dĂ©sormais les 30 %, soit prĂšs de six fois la moyenne nationale, comme Ă  Clichy-sous-Bois 37,2 % ou Aubervilliers 34,6 %. VoilĂ  pour les chiffres officiels. Car les autoritĂ©s estiment qu'il pourrait y avoir entre 100 000 et 300 000 sans-papiers en Seine-Saint-Denis, la plupart non recensĂ©s. Soit l'Ă©quivalent de villes comme Saint-Denis et Montreuil qui s'ajoutent Ă  la population officielle. "Le problĂšme n'est pas d'arrĂȘter les flux. C'est totalement illusoire, c'est comme de vouloir arrĂȘter la marĂ©e avec ses bras. Le problĂšme, c'est de savoir ce qu'on fait pour ces populations. Or, aujourd'hui, on n'a pas suffisamment de moyens pour assurer leur intĂ©gration", relĂšve le maire PS d'Aubervilliers, Jacques Salvator. ConsĂ©quence Ă  Aulnay-sous-Bois, Villetaneuse, Clichy, La Courneuve, Stains, Montfermeil, Aubervilliers, notamment, certains quartiers se ghettoĂŻsent et ne comptent quasiment plus de "Blancs". Uniquement des MaghrĂ©bins ou des Noirs, parfois des Asiatiques. "La spĂ©cialisation du dĂ©partement se renforce. Tant qu'il n'y aura pas de solidaritĂ© rĂ©gionale ou nationale sur l'accueil de l'immigration, je ne vois pas comment on pourra s'en sortir", regrette BĂ©nĂ©dicte Madelin, directrice de Profession banlieue, une des figures de la vie associative dĂ©partementale. Un constat confirmĂ© par l'Insee entre 1999 et 2006, la Seine-Saint-Denis a absorbĂ© autant d'Ă©trangers que tous les autres dĂ©partements d'Ile-de-France rĂ©unis, en dehors de Paris. Les bureaux de cadres blancs, la face cachĂ©e du "9-3" La devanture est discrĂšte. Mais l'intĂ©rieur est chic et raffinĂ© et on y croise des Japonais et des AmĂ©ricains, venus pour leur business. Comme Ă  Singapour, New York, PĂ©kin ou... Neuilly-sur-Seine, la chaĂźne de luxe Marriott vient d'ouvrir un de ses hĂŽtels dans un immeuble moderne de 150 chambres Ă  Saint-Denis au coeur du quartier Pleyel, non loin de la future citĂ© du cinĂ©ma de Luc Besson. A 159 euros minimum la nuit, la chaĂźne vise la clientĂšle des hommes d'affaires qui frĂ©quentent les quartiers autour du Stade de France, un des territoires les plus dynamiques de la rĂ©gion parisienne. Depuis dix ans, le nombre de mĂštres carrĂ©s de bureaux a littĂ©ralement explosĂ© dans cette zone grĂące aux transferts d'entreprises attirĂ©es par le faible coĂ»t de l'immobilier et l'importance des rĂ©seaux de transport. "On sort de dĂ©cennies de marasme liĂ© Ă  la dĂ©sindustrialisation", relĂšve StĂ©phane Peu, vice-prĂ©sident de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de Plaine-Commune, qui regroupe sept villes autour de Saint-Denis. Des sociĂ©tĂ©s comme Generali, EDF, la SociĂ©tĂ© gĂ©nĂ©rale, La Banque postale, par exemple, ont transfĂ©rĂ© une partie de leurs services ces derniĂšres annĂ©es. Soit 27 000 emplois privĂ©s de plus en dix ans sur le seul secteur de Saint-Denis. D'autres prĂ©voient d'arriver Ă  plus ou moins long terme, comme Orange 2 000 emplois dĂ©but 2010 et peut-ĂȘtre la chaĂźne Radisson pour un immense complexe hĂŽtelier autour d'un nouveau palais des congrĂšs. C'est la face cachĂ©e de la Seine-Saint-Denis, en quelque sorte. Mais aussi un nouvel enjeu pour les Ă©lus comment faire cohabiter ces territoires en pleine expansion avec les zones dĂ©favorisĂ©es, parfois situĂ©es Ă  quelques centaines de mĂštres Ă  peine ? Et comment faire bĂ©nĂ©ficier les habitants du dĂ©veloppement de cette "DĂ©fense bis" ? "Les entreprises sont venues en Seine-Saint-Denis avec leurs salariĂ©s. Aujourd'hui, le challenge c'est qu'elles se tournent vers les viviers locaux de diplĂŽmĂ©s, notamment nos 65 000 Ă©tudiants", souligne Francis Dubrac, prĂ©sident de l'agence de dĂ©veloppement du dĂ©partement. Un dĂ©fi considĂ©rable tant ces nouveaux quartiers d'affaires ressemblent aujourd'hui Ă  des enclaves. Le matin, entre 8 et 10 heures, les RER amĂšnent de Paris des wagons entiers de cadres blancs, qui repartent le soir par la mĂȘme voie ; ils croisent les employĂ©s de nettoyage ou de sĂ©curitĂ©, souvent noirs ou maghrĂ©bins, qui arrivent la nuit et repartent le matin aux aurores quand les bureaux se remplissent. Un indice de la puissance des sĂ©grĂ©gations ethnique et sociale. Un signe aussi de l'extraordinaire retard de la Seine-Saint-Denis, dĂ©partement le plus jeune de France, en matiĂšre de formation. A peine 10 % de la population de plus de 15 ans dispose d'un diplĂŽme supĂ©rieur. Contre 38 % Ă  Paris. "C'est un point sur lequel rien, ou presque, n'a bougĂ© depuis quinze ans", regrette BĂ©nĂ©dicte Madelin. La consĂ©quence est logique les entreprises qui voudraient embaucher des diplĂŽmĂ©s sur place sont parfois contraintes de se tourner vers d'autres dĂ©partements. Un dĂ©partement sous perfusion publique Un immense chantier. Une nationale dĂ©viĂ©e, des tours rasĂ©es, d'autres reconstruites. Des espaces publics transformĂ©s. A Aulnay-sous-Bois, comme dans 21 autres villes de la Seine-Saint-Denis, les grues occupent le ciel et les ouvriers s'affairent dans un ballet de camions. Ça dĂ©molit, ça creuse, ça bĂ©tonne, ça reconstruit depuis des mois, et encore pour des annĂ©es. Les Ă©normes chantiers de la rĂ©novation urbaine vont mobiliser un peu plus de 4 milliards d'euros sur le dĂ©partement d'ici Ă  2012. Si les objectifs sont tenus, prĂšs de 10 000 logements doivent ĂȘtre dĂ©truits, 12 000 reconstruits, 27 000 rĂ©habilitĂ©s, 33 000 "rĂ©sidentialisĂ©s", comme si une guerre silencieuse Ă©tait passĂ©e par lĂ . Dans les villes symboles de Clichy-sous-Bois et Montfermeil, oĂč les investissements publics atteignent prĂšs de 500 millions d'euros, les transformations positives sont en cours. "Ça dĂ©passe nos espĂ©rances. Tout le monde voit que les grues ont envahi les quartiers et peut sentir que c'est en train de bouger", se rĂ©jouit le maire PS de Clichy, Claude Dilain. Mais Ă  peine une crise est-elle en voie de rĂ©sorption qu'une autre risque de surgir les copropriĂ©tĂ©s dĂ©gradĂ©es du bas Clichy, qui n'ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d'aucune aide publique "C'est lĂ  qu'arrivent tous ceux qui n'ont pas droit au logement social. Les plus pauvres, ceux qui sont sans papiers. Ils se retrouvent dans des conditions de vie intolĂ©rables et voient, en plus, qu'ailleurs c'est en train de changer." De fait, la rĂ©novation urbaine est loin de tout rĂ©gler. D'abord parce que plus de 80 % des appartements dĂ©molis sont reconstruits sur place, dans les mĂȘmes quartiers, sans que la sociologie de la population Ă©volue. "On repeint les ghettos", selon l'expression de Yazid Sabeg, le commissaire Ă  la diversitĂ©. Ensuite, parce que les financements n'Ă©tant pas rĂ©actualisĂ©s, beaucoup de maires doutent de la rĂ©alisation effective de tous les travaux programmĂ©s. Enfin parce que la rĂ©novation urbaine a aussi contribuĂ© Ă  aspirer une bonne part des crĂ©dits publics. Les associations, en particulier, continuent de manquer de moyens et doivent se battre, au quotidien, pour dĂ©crocher des subventions. Les communes les plus pauvres ne parviennent Ă  boucler leurs budgets qu'en rĂ©duisant au maximum leurs dĂ©penses. Le conseil gĂ©nĂ©ral, lui-mĂȘme Ă  court de crĂ©dits, ne s'en sort plus. La prĂ©paration du budget 2010 se rĂ©vĂšle kafkaĂŻenne avec les chutes de recettes dues Ă  la crise de l'immobilier et les transferts de charges de l'Etat vers les collectivitĂ©s, le conseil gĂ©nĂ©ral estime qu'il lui manque 100 millions d'euros sur un budget de 1,5 milliard. Un laboratoire du futur qui manque de moyens pour le prĂ©sent Ils sont plus d'une centaine d'enseignants Ă  manifester devant le siĂšge de l'inspection acadĂ©mique de Bobigny, ce jeudi 22 octobre. Des professeurs des Ă©coles qui protestent contre l'insuffisance des moyens dans l'Ă©ducation nationale. A commencer par le manque de remplaçants. "Aujourd'hui, il y a beaucoup de classes sans maĂźtre parce qu'il n'y a pas assez de remplaçants", insiste François Cochain, secrĂ©taire dĂ©partemental du SNUipp, principal syndicat du premier degrĂ©. Comme beaucoup de fonctionnaires, les enseignants s'alarment du dĂ©calage entre la frĂ©nĂ©sie des "annonces" ministĂ©rielles dans le dĂ©partement et les moyens rĂ©els des services publics. Depuis 2005, il est vrai, tous les plans communication des ministres passent par le "9-3", dĂ©partement Ă  la mauvaise presse mais photogĂ©nique pour les hommes politiques. En 2008, la Seine-Saint-Denis a enregistrĂ© 174 dĂ©placements ministĂ©riels, soit un tous les deux jours en moyenne. Un rythme invraisemblable qui se maintient en 2009 rien que pour le mois de septembre, la prĂ©fecture a comptabilisĂ© 25 visites. Tous les prĂ©textes sont bons la pose de la premiĂšre pierre des Archives nationales François Fillon, l'inauguration de logements Ă©tudiants ValĂ©rie PĂ©cresse, la lutte contre les trafics de stupĂ©fiants Brice Hortefeux, le plan jeunes Martin Hirsch, une visite de collĂšge privĂ© Luc Chatel... PrĂ©sentĂ©e comme un "laboratoire" du futur, la Seine-Saint-Denis manque paradoxalement de moyens pour le prĂ©sent. AnnĂ©e aprĂšs annĂ©e, les Ă©lus locaux se mobilisent pour s'opposer aux fermetures de classes, obtenir des moyens policiers, dĂ©noncer la faiblesse de la pĂ©dopsychiatrie, dĂ©fendre les postes d'adultes-relais, sauver les crĂ©dits des associations... "De tous les cĂŽtĂ©s, discrĂštement, presque clandestinement, l'Etat pompe de l'argent. Il y a beaucoup de communication et d'agitation mĂ©diatique. Mais, dans la rĂ©alitĂ©, les moyens sont retirĂ©s en permanence", explique le maire PS d'Aulnay-sous-Bois, GĂ©rard SĂ©gura, contraint de se battre lors de chaque rentrĂ©e pour tenter d'Ă©viter des suppressions de classes. "On est dans la schizophrĂ©nie la plus complĂšte. Les ministres viennent tous pour vanter leurs plans. Mais il n'y a plus de moyens de droit commun, notamment sur l'Ă©ducation on avait obtenu 3 000 postes avec le plan d'urgence pour la Seine-Saint-Denis en 1998. Mais, depuis, on les a reperdus", ajoute Claude Bartolone, prĂ©sident PS du conseil gĂ©nĂ©ral, en donnant l'exemple de la scolarisation des enfants de 2 ans dans les ZEP, qui ne concerne plus que 5 % des Ă©lĂšves contre 22 % en 1999. SĂ©curitĂ© la violence, un combat jamais terminĂ© Dans la nuit tombante, les hommes de la police scientifique fouillent la ruelle et le petit square. On voit leurs lampes qui balaient le sol Ă  la recherche d'indices. Deux jeunes de Saint-Ouen viennent de mourir, ce samedi 26 septembre, tuĂ©s par balles, probablement Ă  cause d'un trafic de stupĂ©fiants. Le corps d'une des victimes est toujours allongĂ© au sol, entre deux voitures. Un policier relĂšve les plaques d'immatriculation des vĂ©hicules situĂ©s Ă  proximitĂ©. Un habitant l'interpelle "C'est pas trop pĂ©nible de ramasser les morts ?" Le policier "Ça s'Ă©tait calmĂ©. Mais, en ce moment, il y en a un tous les trois jours." Fin du dialogue. L'accumulation de faits divers graves, ces derniĂšres semaines, a relancĂ© les interrogations sur la dĂ©linquance en Seine-Saint-Denis. Les Ă©lus de droite comme de gauche ont rĂ©agi en exigeant des moyens supplĂ©mentaires. La prĂ©fecture de police a rĂ©torquĂ© que les effectifs n'ont jamais Ă©tĂ© aussi importants 4 913 fonctionnaires en 2009, contre 4 340 en 2003 et que la mise en place du Grand Paris de la sĂ©curitĂ©, depuis septembre, va permettre la reconquĂȘte des territoires. De fait, les chiffres ne sont pas bons. Les vols avec violences et les agressions physiques, qui ont le plus gros impact sur les habitants, restent en effet nettement plus Ă©levĂ©s que dans le reste de l'Ile-de-France. Deux fois plus frĂ©quents, par exemple que dans les Hauts-de-Seine. "La situation n'est pas satisfaisante. Les habitants souffrent dans certains quartiers de la prĂ©sence d'individus qui se sont octroyĂ©s tous les droits", reconnaĂźt Alain GardĂšre, directeur de la sĂ©curitĂ© de proximitĂ© Ă  la prĂ©fecture de police. Sur le front des violences urbaines, la tension n'est jamais retombĂ©e depuis 2005, pourtant considĂ©rĂ©e comme une annĂ©e exceptionnelle. Le nombre de dĂ©gradations et de destructions de voitures, notamment par incendie, n'a pas diminuĂ©. Idem pour les violences sur personnes dĂ©positaires de l'autoritĂ© publique, notamment les policiers 1 472 agressions recensĂ©es en 2008 contre 1 137 en 2005. "La situation est maĂźtrisĂ©e mais c'est toujours assez tendu. On sait qu'il faut toujours ĂȘtre vigilant et que ça peut s'envenimer pour trois fois rien", souligne Philippe Prunier, directeur territorial de la sĂ©curitĂ© de proximitĂ©, en faisant Ă©tat d'une augmentation significative du nombre de policiers blessĂ©s en intervention. La situation est aussi dĂ©licate pour la lutte contre la criminalitĂ©. Notamment les rĂ©seaux de drogue, que l'Etat promet de faire tomber depuis des annĂ©es, mais qui sont toujours aussi prĂ©sents. Il suffit d'ouvrir les yeux. A Saint-Ouen, dans les ruelles Ă  proximitĂ© de la mairie. A Drancy, dans la citĂ© du Nord, Ă  cĂŽtĂ© de la gare RER du Bourget. A Sevran, aux Beaudottes, pas trĂšs loin du supermarchĂ©. A Stains, au Clos-Saint-Lazare. A Saint-Denis, prĂšs de la gare RER - mais depuis la visite sur place du ministre de l'intĂ©rieur, Brice Hortefeux, fin septembre, les trafics de crack se sont dĂ©placĂ©s sur les villes voisines. "On va travailler sur les trafiquants et sur leur patrimoine", prĂ©vient Christian Flaesch, directeur de la police judiciaire parisienne, en annonçant la mise en place d'un "plan stups". Une promesse dĂ©jĂ  entendue Ă  de nombreuses reprises par les Ă©lus locaux "Le problĂšme, c'est que chaque fois que la police fait tomber un rĂ©seau, l'appĂąt du gain et la misĂšre sociale sont tels que d'autres prennent immĂ©diatement la place", remarque Claude Bartolone. Dans le "9-3", les combats ne s'arrĂȘtent jamais. La crise, ultime paradoxe Les hypermarchĂ©s pour pauvres ne dĂ©semplissent pas. A Villemomble, le week-end, devant un des principaux hard-discounters de la Seine-Saint-Denis, les voitures se garent par centaines, sur le parking et dans les rues aux alentours. Dans les allĂ©es, c'est une Ă©tonnante cohue pour rĂ©ussir Ă  circuler entre des rayons encombrĂ©s. AprĂšs des heures de file d'attente, les clients repartent le coffre plein de nourriture Ă  bas coĂ»t. Souvent des produits proches de la date de pĂ©remption mais Ă  des prix imbattables. La Seine-Saint-Denis reste en effet un dĂ©partement pauvre, trĂšs pauvre 50 000 allocataires du RSA, 12 % de la population qui bĂ©nĂ©ficie de la couverture mĂ©dicale universelle CMU, un revenu moyen de 18 800 euros par famille. "Les pauvres sont concentrĂ©s en Seine-Saint-Denis. Au fond, ça a l'air d'arranger tout le monde - sauf quand ça explose. Mais ceux qui pensent qu'il suffit d'Ă©riger une ligne Maginot entre les villes riches et les villes pauvres se trompent complĂštement. Comme en 1940 !", prĂ©vient Claude Dilain. De façon paradoxale, pourtant, le "9-3" Ă©chappe pour l'instant, en partie, Ă  la crise Ă©conomique actuelle. Le taux de chĂŽmage n'a pas explosĂ© depuis le dĂ©but de l'annĂ©e 2009. Car la vieille image d'un dĂ©partement industriel est fausse. Il reste certes des bastions ouvriers - comme l'usine PSA Ă  Aulnay-sous-Bois -, mais l'industrie et le bĂątiment ne reprĂ©sentent plus que 100 000 emplois contre 500 000 pour les services et le commerce. Le dĂ©partement est dĂ©sormais tirĂ© par le secteur tertiaire et les PME, y compris dans des filiĂšres porteuses comme l'assurance, la santĂ© et l'audiovisuel. Comme un clin d'oeil, BNP Paribas, qui vient d'installer une de ses filiales 3 200 salariĂ©s Ă  Pantin, communique dĂ©sormais Ă  grand renfort de publicitĂ©s sur le fait d'ĂȘtre le premier employeur privĂ© du dĂ©partement. "Il y a dix ans, je m'engueulais avec les patrons des grands groupes. Aujourd'hui, c'est eux qui viennent nous dĂ©marcher ou qui participent aux colloques sur les discriminations", se fĂ©licite Claude Bartolone, convaincu que les entreprises ont pris le virage de la diversitĂ© et que cela peut aider son dĂ©partement Ă  passer le cap de la crise. Luc Bronner Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

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Le personnel du service Archives et Documentation vous accueillera et vous accompagnera dans vos des fondsArchives anciennes et modernes archives de l’administration municipale depuis le XVIIe siĂšcle Registres paroissiaux 1660-1792Registres d’état civil 1793-1914DĂ©nombrement de la population ou recensement 1891-1946Registres de dĂ©libĂ©rations 1815 Ă  aujourd’huiArchives contemporaines archives produites par les services municipaux depuis 1940Archives iconographiques photographies des annĂ©es 1940 aux annĂ©es 2000, diapositives, affiches et plansArchives audiovisuelles VHSArchives privĂ©es archives donnĂ©es par des particuliers ou des associationsDocumentation pĂ©riodiques rĂ©cents, 7 jours Ă  Stains, bulletins municipaux 1935-1973BibliothĂšque du service ouvrages historiques sur Stains Ă  consulter sur placeAccĂšs aux archivesConsultation en salle de lecture La consultation des archives se fait uniquement sur place et sur rendez-vous du lundi au vendredi, de 9h00 Ă  12h00 et de 13h30 Ă  16h45, Ă  l’Espace Angela gratuite sur prĂ©sentation d’une piĂšce d’identitĂ© obligatoire.AccĂšs aux documents administratifs la consultation se fait gratuitement sur place, sauf si la prĂ©servation du document ne le permet pas et dans la limite des possibilitĂ©s techniques de l’ de documents si l’état matĂ©riel du document le permet, une photocopie peut ĂȘtre effectuĂ©e. L’usage d’un appareil photographique sans flash est autorisĂ©. En cas de reproduction d’un document d’archives Ă  des fins de publication ou d’illustration, la mention Archives municipales de Stains » devra obligatoirement ĂȘtre soin particulier est demandĂ© aux lecteurs lors de la manipulation des documents. Pour la prise de notes, seul le crayon Ă  papier est autorisĂ©. L’ordinateur portable et l’appareil photographique sont destruction, dĂ©gradation ou dĂ©tĂ©rioration relĂšve de la responsabilitĂ© du lecteur et peut donner suite Ă  des poursuites article 322-2 du Code pĂ©nal.DĂ©lai de communicabilitĂ© les archives publiques sont librement communicables articles L213-1 Ă  L213-8 du livre II du Code du patrimoine. Toutefois, des dĂ©lais de communicabilitĂ© s’appliquent Ă  certains types de documents afin de respecter la vie privĂ©e des individus ou le secret mĂ©dical Type de documentsDĂ©lais de communicabilitĂ©Etat civil naissance, mariage75 ansEtat civil dĂ©cĂšsImmĂ©diatSecret industriel et commercial25 ansDocuments contenant des informations relatives Ă  la vie privĂ©e50 ansMinutes et rĂ©pertoires des officiers publics ou ministĂ©riels75 ans ou 100 ans pour personne mineureRecherches par correspondance le service peut rĂ©aliser les recherches Ă  distance pour les personnes ne pouvant pas se dĂ©placer, sous rĂ©serve des nĂ©cessitĂ©s de civil est accessible sur le Portail des familles de la Seine-Saint-DenisAteliers pĂ©dagogiques Ă  destination des Ă©tablissements scolaires des sĂ©ances Ă©ducatives peuvent ĂȘtre assurĂ©es en salle de lecture ou dans les classes. Pour toute information, contactez-nous au 01 49 71 84 13 ou Ă  archives Archivesen ligne. Fonds administratifs; Fonds iconographiques; Archives audiovisuelles; 10 ans d’Internet; 10 ans d’Internet; Les pĂ©riodiques; Fonds privĂ©s; L’atelier des archives. Outils pĂ©dagogiques; Ateliers pĂ©dagogiques 2022-2023; Ateliers pĂ©dagogiques 2021-2022; Ateliers pĂ©dagogiques 2020-2021; Ateliers pĂ©dagogiques 2019-2020 La prochaine Ă©dition du festival Hors limites aura lieu du vendredi 1er au samedi 23 avril 2022 Hors limites le Festival littĂ©raire en Seine-Saint-Denis Hors limites est un festival littĂ©raire, créé par les bibliothĂšques du dĂ©partement et portĂ© par l’association BibliothĂšques en Seine-Saint-Denis. EntiĂšrement gratuit et ouvert Ă  tous les profils de lecteurs, il promeut la littĂ©rature contemporaine sur un territoire dont on connaĂźt les difficultĂ©s, mais qui est passionnant et exemplaire par sa volontĂ© et son ambition. En tĂ©moigne un public fidĂšle et chaque annĂ©e plus nombreux. Suscitant des croisements entre la littĂ©rature, le cinĂ©ma, les arts plastiques et le spectacle vivant, les rencontres du festival invitent Ă  dĂ©couvrir une littĂ©rature vivante en prise avec les problĂ©matiques qui traversent le monde contemporain. Au cĂŽtĂ© des bibliothĂšques, le festival se glisse Ă©galement dans les librairies, les cinĂ©mas et bien d’autres lieux culturels, et valorise la richesse culturelle de la Seine-Saint-Denis en collaborant avec la Basilique-CathĂ©drale de Saint-Denis, le MĂ©morial de la Shoah de Drancy, les UniversitĂ©s Paris 13 et Paris 8, les librairies Folies d’encre, le Studio Théùtre de Stains 
 ARCHIVES DU FESTIVAL ‱ 2021 du 26 mars au 10 avril, en ligne ‱ 2020 du 20 mars au 4 avril + Edition Hors format du 19 septembre au 19 dĂ©cembre 2020 ‱ 2019 du 29 mars au 13 avril / ‱ 2018 du 16 au 31 mars ‱ 2017 du 17 mars au 1er avril / ‱ 2016 du 1er au 16 avril / ‱ 2015 du 27 mars au 11 avril / ‱ 2014 du 19 mars au 5 avril / ‱ 2013 du 5 au 20 avril / ‱ 2012 du 16 au 31 mars / ‱ 2011 du 25 mars au 10 avril / ‱ 2010 du 5 au 20 fĂ©vrier / Le programme ‱ 2009 du 31 janvier au 14 fĂ©vrier / Le programme Auxarchives de Seine-Saint-Denis, le nouvel Ă©crin est fin prĂȘt pour accueillir le joyau tant attendu par les gĂ©nĂ©alogistes, l'Ă©tat civil, dont la mise en ligne a Ă©tĂ© annoncĂ©e pour la fin avril. Le nouveau portail Internet a nĂ©cessitĂ© plusieurs mois de travail. Il permet de rĂ©aliser des recherches en ligne en amont de la consultation 51 Archives de la Marne Archives dĂ©partementales de la Marne - Registres paroissiaux et Ă©tat-civil de la Marne jusqu'en 1902 - Recensements de population 1836-1936 - Registres matricules classes 1887 Ă  1921 lancement de l'indexation collaborative - Cadastre napolĂ©onien et XXĂšme - Archives notariales - Cartes postales anciennes, plans et cadastre - Documents de la Guerre 14-18 => Retour vers la page d'accueil Lien brisĂ©, informations concernant les archives de ce dĂ©partement ? Faites vivre cette rubrique en laissant un commentaire ci dessous Propositionde deux missions de service civique pour 8 mois : consultez le dĂ©tail des missions et postulez en ligne. BIB C 1183 - Manufactures des tabacs et allumettes de la Seine-Saint-Denis : archives de la SociĂ©tĂ© d'exploitation industrielle des tabacs et allumettes (SEITA) : 1850-2007 : sous-sĂ©rie 1 ETP : rĂ©pertoire numĂ©rique dĂ©taillĂ© / Marie-Liesse Boquien, Guy Mesplou ;
PrĂ©sidente Jankey CoulibalyLocal 3 rue RĂ©chossiĂšre - 93 300 AUBERVILLIERSTĂ©l 06 69 09 87 41 L’association d’aide culturelle et sociale de la Seine-Saint-Denis propose plusieurs activitĂ©s Atelier cours de français pour adultes »Tous les mardis et les vendredis aprĂšs-midis de 13h Ă  16h Atelier couture » Tous les mardis matin de 9h Ă  11hTous les jeudis aprĂšs-midis de 13h30 Ă  15h30 OĂč ? Maison pour tous Berty Albrecht – 34, rue Hemet Ă  AubervilliersTarif 30 € l’annĂ©e par atelier – 40 € pour les deux ateliers Aide aux dĂ©marches l’association vous accompagne lors de rendez-vous administratifs SĂ©curitĂ© Sociale, CAF, inscription Ă  l’école, 
. Gratuit Organisation de sorties Ă  la mer Deauville et Trouville, Ă  Paris bateau-mouche, visite de la Tour Eiffel, de la CitĂ© des Sciences, 
, au cinĂ©ma, 
 Inscription aux activitĂ©s A la Maison pour Tous Berty Albrecht 34, rue Hemet aux heures des cours de français et des ateliers couture. ActualitĂ©s L’association organise une sortie Ă  Deauville, le samedi 25 juillet. Inscriptions Mardi 21 et mercredi 22 juillet de 15h Ă  18h Lieu 3 rue LĂ©opold RĂ©chossiĂšre Ă  Aubervilliers, RDC porte 149 Samedi 19 octobre 2013 Ă  partir de midi Au programme DĂ©gustation de spĂ©cialitĂ©s africainesDiscussions et Ă©changes sur les origines de l’association et ses actionsSoirĂ©e musicale et dansante Lieu RĂ©fectoire de l’école Wangari Maathai, 18 rue Paul Doumer Ă  AubervilliersInformations 06 69 09 87 41 Initiatives rĂ©alisĂ©es L’association d’aide culturelle et sociale de la Seine-Saint-Denis a fĂȘtĂ© ses 5 ans le Samedi 19 Octobre 2013. Samedi 19 octobre 2013 Ă  partir de midi Au programme DĂ©gustation de spĂ©cialitĂ©s africainesDiscussions et Ă©changes sur les origines de l’association et ses actionsSoirĂ©e musicale et dansante Lieu RĂ©fectoire de l’école Wangari Maathai, 18 rue Paul Doumer Ă  AubervilliersInformations 06 69 09 87 41
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