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/ Tirailleurs TIRAILLEURS/HISTOIRE Publié le 10/02/2010 - 1252Modifié le 10/05/2010 - 1739 Des soldats africains dans les Vosges, hiver 1944. De novembre 1942 au 1er mars 1945, la Fédération -Afrique occidentale française et Afrique équatoriale française – a envoyé au combat 60 000 hommes; avec leurs camarades de 1940, c’est donc près de 158 000 Africains qui ont combattu pendant la Seconde Guerre mondiale, sans oublier un effectif équivalent mobilisé en Afrique noire ou affecté au Maghreb pour participer à l’effort de guerre. La Croix de la Libération. Dix gradés et tirailleurs ont été faits compagnons de la Libération, 50 médailles de la Résistance ont été décernées ainsi que 123 médailles des l’occasion des nombreuses cérémonies pour célébrer la victoire, les tirailleurs ne sont pas oubliés. Cependant, l’impatience des soldats à être rapatriés au plus vite, le manque de moyens pour le faire et une évolution très légitime des mentalités entraînent des récriminations de plus en plus virulentes qui conduisent le commandement à accélérer les retours en une des raisons pour lesquelles lors des défilés de 1945, les tirailleurs sénégalais sont moins présents que d’autres de leurs frères d’armes. Défilé du 18 juin 1945. Le fait que les régiments disposent tous de leur drapeau et n’aient pas besoin d’en recevoir un nouveau, que les défilés se fassent par divisions constituées ne comportant plus de formations sénégalaises » ou que les régiments existant encore se trouvent dans le Midi n’est pas non plus étranger à cette plusieurs unités d’appui disposant encore d’originaires d’Afrique noire défilent, par exemple lors des cérémonies du 18 juin et du 14 juillet 1945 sur les Champs-Élysées, comme en témoignent de nombreux documents d’archives. Le général de Gaulle amorce la décolonisation à Brazzaville en janvier 1944.
compagnies Les régiments évoluent dans le temps au gré des décisions politiques et des évolutions de la guerre et des techniques. Sur Mémoire des hommes, on peut consulter des journaux des marches et opérations des corps de troupe.. Un exemple avec les Hussards. Les régiments de hussards sont des régiments de cavalerie légère
Les symboles de la Légion Étrangère Les traditions à la Légion étrangère Les traditions de la Légion étrangère font partie intégrante de son patrimoine et de sa culture. Elles ont été forgées au cours des ans, sont aujourd’hui garantes de son identité et de son unité et restent un facteur essentiel d’intégration et de cohésion. Certaines sont très anciennes et trouvent leurs origines dans des coutumes antérieures à la création de la Légion étrangère. D’autres sont plus récentes ; leur adoption prouve la capacité de la Légion étrangère à s’adapter à son temps et démontre que ces traditions ne sont pas figées, mais sont appelées à évoluer. Legio patria nostra - La Légion pour patrie Servant avec le statut à titre étranger », le légionnaire sert la France à travers la Légion... La devise Legio patria nostra est apparue sans que l’on sache vraiment ni comment, ni depuis combien de temps. Pour les képis blancs, elle reflète le sentiment commun de faire partie d’une unité d’élite et d’appartenir à une même famille. L’idée de patrie, moteur essentiel pour toute autre troupe, laisse le légionnaire souvent indifférent ; c’est là qu’intervient le mystère de la Légion. Car, l’homme qui a rompu avec son passé, son cadre social, son milieu familial, va reporter sur la Légion son besoin d’idéal et ses affections déçues. Il identifie bientôt l’idée de Légion à l’idée de patrie, au point de lui sacrifier tout avec une infinie générosité. Celui qui en a accepté les durs lois et règlements, celui qui a servi avec loyauté, honneur et fidélité une institution qui lui a un jour offert un asile, celui-là peut s’enorgueillir d’être un digne citoyen légionnaire. Legio patria nostra ! La devise Honneur et fidélité » Les drapeaux de l’armée française portent tous les mentions République française » et Honneur et patrie ». Cette dernière est remplacée, depuis le 30 décembre 1920, par Honneur et fidélité » sur les drapeaux et étendards des régiments étrangers. Les képis blancs sont particulièrement fiers de cette particularité, car elle évoque l’attitude glorieuse de la Légion au combat, l’esprit d’abnégation et le respect de la parole donnée, s’il le faut, jusqu’au sacrifice suprême Les couleurs Vert et Rouge Il est très difficile de dire à quelle période exactement les couleurs Vert et Rouge sont apparues à la Légion étrangère. Bien souvent adoptées avant qu’une décision ne vienne en officialiser l’usage, on les a vues apparaître et s’imposer peu à peu. Pour résumer on peut dire qu’elles ont été héritées des Suisses de la 2e Légion de 1835. On les retrouve sur les fanions des compagnies, sur les épaulettes des légionnaires, sur les tambours de musiciens. La grenade à sept flammes C’est au début de la Seconde Guerre mondiale que la grenade, ornement réservé à certaines unités d’élite de l’armée française, se voit attribuer sept flammes dont deux en retour, le plus souvent accolées, et une bombe creuse portant le numéro du régiment. On doit son dessin au célèbre aquarelliste et ancien légionnaire Rosenberg. On la retrouve sur tous les frontons des quartiers de Légion, sur tous les fanions, sur les uniformes des légionnaires. Emblèmes et fanions Les emblèmes drapeaux et étendards des régiments étrangers portent l’inscription "Honneur et Fidélité" en lieu et place de l’inscription "Honneur et Patrie", en vigueur dans le reste de l’armée française. Ils portent tous la mention "Camerone 1863". La Légion a le privilège de disposer des emblèmes de ses régiments disparus et des anciens drapeaux des régiments actuels. Ils sont conservés par le musée d’Aubagne et une partie d’entre eux est exposée dans la crypte. Les fanions des compagnies et escadrons sont vert et rouge sur l’avers, diagonale descendante, le vert contre la hampe. Le revers présente les couleurs réglementaires correspondant à la numérotation de l’unité. Le salut C’est l’expression même de la discipline, la manifestation spontanée du respect envers le supérieur. Celui-ci, par la qualité de sa réponse, doit prouver qu’il en est digne. Le salut au caïd A l’arrivée du Chef de corps au quartier, chaque matin, ou dans tout poste tenu par une unité légion, le poste de police lui rend les honneurs. Le clairon sonne " Au Caïd ", suivi par le refrain du Boudin, avant qu’il ne passe la Garde en revue et que chacun se présente à haute voix. Tous ceux qui entendent les sonneries se mettent au gare-à-vous, face à l’entrée, jusqu’à la fin de son exécution. Lorsque le " Caïd " est joué par une batterie, les tambours saluent de la main entre chaque roulement. Dans certaines circonstances particulières, l’exécution de la sonnerie " Au Caïd " est une manifestation de courtoisie destinée à honorer une haute autorité très liée ou ayant servi à la Légion, les anciens Chefs de corps de Légion, par exemple. Le Général commandant la Légion étrangère est accueilli par la même sonnerie, suivie des seize premières mesures du " Boudin ". Le boudin " Le Boudin "est la marche officielle de la Légion. Ce titre, à lui seul, évoque la merveilleuse aventure des Képis Blancs. Mais quelle est donc l’histoire de cette marche, que nous considérons tous comme " la Marseillaise " légionnaire ? Les origines du mot, comme celles du thème du célèbre refrain, sont assez mal connues. Les uns pensent au rouleau de toile long de 52 centimères roulé sur le sac ou porté en bandoullière, et qu’on appelait volontier boudin, les autres à une origine plus gastronomique. La mélodie serait inspirée d’une oeuvre de Rameau, d’une adaptation du refrain du 67ème en 1862 , ou d’une décision impériale prise en Crimée ou en Italie. Il est difficile de trouver une origine exacte. Mais peu de temps avant le départ du Régiment étranger en janvier 1863 pour le Mexique, c’est Monsieur Wilhelm, Chef de musique qui dirigeait la fanfare du 2 ème Etranger qui compose à partir de ce thème des 16 mesures imposées depuis 1840, une marche qui est devenue la marche de la Légion étrangère " le Boudin ". L’origine de cette marche remonte à 1860, époque à laquelle , le Roi des Belges envoya des hommes à la France, afin qu’ils fussent incorporés dans la Légion étrangère. Ils y furent notamment traités de " Tireurs au cul " par une majorité d’Allemands qui composaient à ce moment là l’essentiel de la Légion. Quant aux paroles, il semble qu’elles aient connues des variantes dues à l’imagination fertile des légionnaires. Les paroles actuelles ont probablement été adoptées vers 1870, alors que le roi des Belges avait demandé que ses sujets ne combattent pas en France et que de nombreux Alsaciens-Lorrains s’engageaient à la Légion. Pour terminer, nous ne sauront sans doute jamais si les paroles sont dues aux épaules des légionnaires ou à leurs estomacs, mais il est indéniable que " le Boudin " est un morceau qui exalte l’amour profond du légionnaire pour son drapeau et pour sa patrie d’adoption. Si l’on ne salue pas pendant l’exécution du Boudin, on l’exécute et on le chante au garde-à-vous Le pas Légion Le pas Légion est cadencé à 88 pas/minute 120 pas/minute pour le régime général et 140 pas/minutes pour les chasseurs alpins & chasseurs à pied. Cette cadence est héritée du rythme de déplacement des armées de l’Ancien Régime et de l’Empire, dont le régiment Hohenlohe, duquel la Légion étrangère a conservé nombre de traditions. Le képi blanc Le képi blanc tel que nous le connaissons aujourd’hui, objet de fierté pour le légionnaire et symbole distinctif de la Légion pour le public, n’est porté que par les militaires du rang ; officiers et sous-officiers coiffant un képi ... noir ! S’il n’a pas toujours était de couleur blanche symbole de pureté, on peut dire qu’il est officiellement devenu blanc à partir du 14 Juillet 1939, lorsque les légionnaires ont pour la première fois défilé sur les Champs Elysées vêtue de ladite coiffure. Depuis, il symbolise la Légion étrangère et son port est interdit à tout autre troupe. Le béret vert D’abord porté par les légionnaires parachutistes formation créée en 1948 en Indochine par le chef de bataillon Morin pour se distinguer des parachutistes et autres troupes d’élite de l’armée régulière », il n’a été officialisé qu’à partir de 1957. La légende dit qu’il aurait été rapporté en Extrême-Orient par un officier de retour de permissions. A la fin des année 1950, son port n’est plus réservé aux seuls légionnaires para, il est étendu à l’ensemble des unités de Légion. Les épaulettes Vert et Rouge En 1868, la suppression des compagnies d’élites instaure pour chaque subdivision d’arme des épaulettes aux couleurs distinctives ; dès lors, la couleur actuelle des épaulettes corps vert et franges rouges est attribuée à la Légion. On pense que le choix de ces deux coloris est à attribuer à l’uniforme des Suisses de la 2e Légion de 1855. On les retrouve sur les fanions des compagnies et sur les tambours de musiciens. La ceinture bleue Longue de 3,40 à 3,60 mètres et large de 13 à 17 centimètres, la ceinture de laine bleue a été officiellement attribuée à la Légion étrangère en 1882. Son rôle initial était surtout pratique, car, portée lors de la conquête de l’Algérie, elle devait protéger des affections intestinales dues notamment aux grands écarts de température entre le jour et la nuit. Elle se portait sous la capote ou la veste. La cravate verte Avant le deuxième conflit mondial, la couleur de la cravate portée à la Légion n’était pas définie. Son apparition s’est faite à compter de 1945, du fait de la récupération de surplus de cravates vertes, provenant des Chantiers de jeunesse. Le port n’a pas été généralisé dès cette date et il faudra attendre 1947 pour voir l’ensemble des légionnaires porter cette nouvelle marque distinctive. Les chevrons d’ancienneté De nos jours, la Légion est la seule détentrice de cette vieille tradition des chevrons d’ancienneté, dont l’origine remonte à une décision royale de 1771. Supprimés, puis remis au goût du jour à de nombreuses reprises, ils sont institués une dernière fois en 1948. Un chevron correspond à cinq ans d’ancienneté, deux chevrons à dix, etc. Seuls les militaires du rang et les sous-officiers subalternes sont autorisés à les porter. Le gilet d’armes Les origines du gilet d’arme remontent à l’Armée d’Afrique et à la conquête de l’Algérie. Mais sont port devient obligatoire, à la Légion étrangère, seulement dans les années 1950. Dès lors, il sera uniquement de couleur verte, ce qui n’était pas le cas auparavant... Comportant dix-huit petits boutons dorés ou argentés, il n’est porté que par les officiers et les sous-officiers supérieurs. Les jeunes officiers doivent avoir assisté au moins une fois à la commémoration du combat de Camerone avant de pouvoir le porter. Les plis de la chemise Parce que Rigueur » n’est pas un vain mot à la Légion étrangère ... Les chemises des légionnaires comportent des plis réglementaires. Ils sont définis avec une précision qui ne tolère pas l’à-peu-près ; leur exactitude est vérifiée avec le plus grand des sérieux par les supérieurs en charge de leurs subordonnés. C’est ainsi que le jeune légionnaire apprend dès son incorporation à travailler finement, précisément. On lui inculque le soucis du détail », on lui transmet l’amour du travail bien fait » et cela passe aussi par sa tenue vestimentaire. Certains plis doivent être espacés de 5,3 cm, d’autres de 3,5 cm !!! Alors, prêts à relever le défi ? Les pionniers Les pionniers sapeurs sont apparus en France dès le XVIIIe siècle. Mais la création des pionniers à la Légion étrangère ne date que du XXe siècle. Ils perpétuent la tradition de bâtisseuse que s’est forgée la Légion à travers le monde. Les pionniers, tous barbus, portent une hache et sont revêtus d’un tablier de buffle. Le tablier et la barbe sont des héritages du XVIIIe siècle, le fait de porter sur l’épaule droite la hache et non le fusil, témoigne de la vocation de bâtisseur des pionniers. Ils doivent par leur action permettre au reste de la troupe d’avancer en échange de quoi, celle-ci doit les protéger. Ce sont les précurseurs. C’est d’ailleurs cette notion, déjà présente dans la Grande Armée napoléonienne, que l’on retrouve lorsqu’à la parade on les voit précéder les légionnaires en armes, ainsi que le drapeau du régiment et le chef de corps. La poussière La poussière est une cérémonie qui semble tirer son origine d’une coutume de l’armée d’Afrique, et notamment des colonnes mobiles. L’eau était rare, parfois plus que le vin, aussi avant le repas prenait-on le temps de rincer les vers avec une goutte de vin que l’on se gardait bien de jeter. Le cérémonial traditionnel correspond aux commandements suivants, chacun s’assure que son verre contient un peu de vin, rouge en général - " Attention pour la poussière ! " Les convives au garde-à-vous, tiennent leur verre à la hauteur du menton, coude droit collé au Envoyez ! Puis le popotier, ou le maître de chant, entonne " Le Boudin " , précédé ou non du refrain de l’unité. La popote La popote des officiers, et tout particulièrement celle des lieutenants est le lieu où se cultivent et se perpétuent certaines traditions moins solennelles mais dont l’importance ne sauraient être mésestimées, ne serait-ce que par le sens d’un certain cérémonial, d’un certain goût du panache, qu’elles développent. A cette réunion qui n’a pour but que de resserrer les liens de camaraderie, doivent régner une gaieté et une atmosphère de bon aloi. Elle est organisée dans une enceinte militaire, ses participants se doivent donc d’y avoir une tenue et une conduite irréprochables. Le menu Le popotier lit le menu traditionnel dans toutes les popotes de l’armée française, avec toutefois une légère variante propre à la Légion. Il ajoute " ... de l’avancement dans l’armée française en général, et de la Légion Etrangère en partuculier , ce dont je serai, d’ailleurs, le dernier et ô combien indigne bénéficiaire ". Puis le popotier invoque le Saint-Patron de la Légion. Il est d’usage aussi d’invoque le Saint-Patron des éventuels invités d’honneur. Noel - Fête de famille légionnaire Noël à la Légion étrangère est La fête de famille par excellence. Dépassant le cadre religieux, tous les légionnaires ne sont pas chrétiens, il est toujours fêté avec ferveur et enthousiasme. Dans tous les coins du monde où l’on fête la nativité, Noël est souvent la seule occasion de réunir la famille. C’est cet aspect qui est revendiqué sous la grenade à sept flammes. Souvent loin de chez eux, de leur famille de sang », quand elle existe encore !, les képis blancs retrouvent avec leurs chefs, leurs camarades, un peu de cette chaleur familiale laissée derrière eux. Le soir de Noël, ils festoient, chantent, s’amusent, s’offrent des cadeaux, au sein de leur nouvelle famille, leur famille de cœur », leur famille d’adoption », constituée de frères d’armes, de personnes avec lesquelles ils ont pour habitude de tout partager... le pire, mais aussi le meilleur. Camerone - La Légion honore ses morts Camerone est le nom de la ville mexicaine où une poignée de légionnaires s’est illustrée le 30 avril 1863, au cours d’une bataille épique. Ces braves soldats se sont opposés pendant toute une journée à plus de 2000 Mexicains. Les cinq survivants qui avaient promis à leur chef mourant de ne pas se rendre à cours de munitions, chargèrent à la baïonnette. En se sacrifiant, ils permirent à un précieux convoi de passer la mission était remplie. Depuis, le combat a fait date il est devenu symbole de la fidélité à la parole donnée et de la mission remplie quel qu’en soit le coût. Désormais, chaque 30 avril, où qu’ils se trouvent, les légionnaires commémorent cet événement. Chants et marches de la Légion étrangère A la différence du chant de popote où la gaîté, la fronde et l’humeur se répondent, du chant de bivouac aux accents parfois nostalgiques, toujours sentimentaux, le chant de marche » a pour quadruple but de soutenir les énergies, d’affirmer la cadence, de fondre quarante timbres en un seul chant, ce qui éveille en chacun le sens profond de la collectivité, et de donner à la superbe d’une troupe en mouvement un prolongement sonore qui la valorise Il n’est pas ici question de commenter son utilité, de vous persuader, s’il en était besoin, de son influence bénéfique ni de justifier de son importance. Le fait est là. La Légion étrangère est, une fois encore, la troupe qui sait, qui doit, qui chante le mieux au monde. Ce patrimoine flatteur doit être reçu avec fierté, certes, mais il nous appartient de le transmettre, non seulement sans le laisser de déprécier, mais aussi en y apportant – pourquoi non ? - encore plus de flamme, encore plus d’ampleur, encore plus de résonance. La Musique De tous temps, la Musique principale de la Légion étrangère a occupé une place privilégiée dans la faveur du public. A la puissance d’exaltation qui rayonna des musiques de marche et au prestige dont jouissent les fameux " Képis Blans", elle ajoute son allure solennelle et éclatante, expression la plus directe de la personnalité légionnaire. Son histoire commence avec celle de la Légion, créée par l’ordonnance royale du 10 mars 1831. A cette date, le nombre des musiciens est réglementé par les habitudes militaires de l’époque. C’est pourquoi, la Musique de la Légion, à ses débuts, comprend un effectif plus que modeste, avec uniquement un chef de musique, un sous-chef de musique, et seulement ving-sept exécutants. Il faudra alors de très nombreuses années de travail et d’efforts pour que la Musique soit en état de se produite dignement face au public. Malgré ses modestes moyens, la musique se fera remarquer par ses qualités musicales. Dès 1860, le nombre des excécutants atteint quarante musiciens. Elle est dirigée à cette époque par Monsieur WILHELM. c’est lui qui composera la célèbre marche de la Légion " le BOUDIN ". L’orchestre à corde est crée vers la fin de l’année 1887. Au départ, son répertoire se compose d’oeuvres populaires connues, puis s’étoffera d’oeuvres musicales de plus grandes envergures. Dissous lors de la déclaration de la Guerre 14-18, la Musique reverra la jour dès la paix rétablie. A ce moment, l’essor grandissant de l’harmonie et de l’orchestre symphonique, grâce à un répertoire très étendu est remarquable. Nous assistons à l’âge d’or de la Musique , par sa batterie et ses fifres, trompes et trompettes de cavalerie. Pourtant en 1940, la Musique est à nouveau dissoute puis renait en 1946. Si l’harmonie reste prestigieuse, l’orchestre à corde a complètement disparu. La batterie conserve ses caractéristiques propres avec ses fifres et son chapeau chinois, et le port particulier des tambours qui facilite la cadence lente. Aujourd’hui, la Musique de la Légion étrangère effectue de très nombreux déplacements en France et à l’Etranger. Elle a le privilège de faire défiler d’une manière particulièrement remarquable nos régiments de Képis Blancs, par son pas lent hérité des régiments de Hohenlohe, et immortalisés par nos anciens autour du monde au service de la FRANCE. Le Chapeau Chinois Le chapeau chinois est un instrument de percussion comportant un pavillon de cuivre perché sur un bâton, garni de clochettes et de grelots, que l’on agite comme un hochet. En outre, il est orné de queues de cheval. Origine des Queues de Cheval Coutume d’origine islamique, adoptée par les régiments d’afrique qui, suivant l’exemple de l’ennemi, ont pris l’habitude d’exposer devant la tente du chef, la queue du cheval tué sous lui au combat. Ainsi était démontrée la valeur, le courage du commandant, témoignage tangible de son ardeur au combat. On peut donc penser que le chapeau chinois, instrument de percussion, était en même temps un emblème traditionnel et symbolique. Les fêtes des régiments En plus des fêtes communes à toute la Légion, chaque régiment commémore une des dates les plus marquantes de son histoire, ou la fête de son saint patron. - 1er 23 avril Saint Georges- 2ème 2 septembre El-Moungar- 3ème 14 septembre Percée de la ligne Hindenbourg- 22 novembre Sainte-Cécile- 2ème 29 septembre Saint-Michel- 6ème 1 octobre Création du régiment- 4ème 15 novembre Création du régiment- 5ème 4 décembre Sainte Barbe Sources Monsieur Légionnaire
Lesdragons, l’une des créatures fabuleuses et monstrueuses les plus populaires de l’imaginaire, peuplent nos mythes et nos légendes depuis plus de six mille ans. Game of Thrones revient sur
je transfère le post et comme tu le dit ténardier il n'était pas a sa place Re Sidi Bel Abbes par tenardier Hier à 1454je sais que ca n'a rien avoir mais j'ai pas pu m'empecher, trop de souvenirs!!!![url= y a jamais de boudin pour les belges ? sont sympas les belgestenardier Messages 44Date d'inscription 06/04/2010Age 44Localisation Digne les bains par tenardier Hier à 1459C'est nous les descendants des régiments d'AfriqueLes chasseurs, les spahis, les gourmiersGardiens et défenseurs d'empires magnifiquesSous l'ardent soleil chevauchant sans répit nos fiers coursiersToujours prets à servirA vaincre ou à mourirNos coeurs se sont unisPour la Trompette au garde à vous, sonnez à l'étendardEt que fièrement dans le ciel montent nos trois couleursLe souffle de la France anime la fanfareEt met à chacun, un peu d'air du pays au fond du coeurC'est notre volontéDe vaincre ou de lutterDe consacrer nos viesA la Patrie. 3. La piste est difficile et toujours nous appellePar les Monts pelés de Taza, de Ksar's Souk, de MideltL'élan de Bournazel vers le TafilaletSur les Ksour ralliés plantera fièrement nos trois Ensemble nous referons gaiement flotter nos étendartsEt suivrons partout hardiement l'éclat des trois couleursEnsemble nouc reprendrons demain le chemin du départEt pour le pays seront prêts à lutter sans nulle Soldats, toujours devant, toujours la tête haute,Nous serons présents sous la pluie, dans le vent, en avant!L'ennemi nous trouvera le coeur plein de courageEt dans ce combat glorieux revivront tous nos y a jamais de boudin pour les belges ? sont sympas les belges
\n\n c est nous les descendants des régiments d afrique
Cest nous,c’est nous les descendants des régiments d’Afrique, Les chasseurs, les spahis, les goumiers, Gardiens, gardiens et défenseurs d’empires magnifiques Sous l’ardent soleil, Nous sommes de plus en plus nombreux à nous interroger sur le parcours de nos ancêtres arrière-grands-parents, grands-parents, voire même parents pendant la Seconde Guerre Mondiale, qu’ils aient été acteurs ou victimes de ce conflit. Souvent nous connaissons les grandes lignes de leur parcours et quelques anecdotes. Mais il nous manque généralement des éléments pour pouvoir raconter et transmettre leur on connait plutôt bien cette guerre, car elle est encore proche dans le temps, et elle a fait l’objet de nombreux films qui ont construit notre imaginaire de la période. Mais lorsque l’on cherche à mieux connaître le parcours de nos ancêtres, c’est beaucoup plus les familles, il ne reste que très peu de témoins directs de ce conflit. Et pour toutes les générations nées après la guerre, la mémoire de cette période ne s’est pas toujours bien transmise. Au final, nous ne savons pas forcément bien ce qu’ont vécu nos m’intéresse beaucoup aux parcours de mes grands-parents et arrière-grands-parents durant cette guerre. Bien que je connaisse quelques éléments, il me reste encore beaucoup de questions mon grand-père paternel était gendarme. Il a donc été mobilisé pendant toute la durée de la guerre. J’ai retrouvé sa fiche de matricule militaire qui me donne toutes ses affectations, mais je n’ai pas encore poussé les recherches afin de mieux comprendre son grand-père maternel pour sa part n’a pas été mobilisé, étant doublement dispensé comme fils aîné de veuve d’une part et comme instituteur par ailleurs. Mais vers 1943, il a fini par devoir partir travailler en Allemagne dans le cadre du J’ai la chance d’avoir beaucoup d’informations sur cette période de sa vie car j’ai récupéré les lettres qu’il avait écrites à ma grand-mère pendant qu’il était en Allemagne. Cela fait beaucoup d’informations à analyser et il me faudrait les compléter avec des sources plus ailleurs, tous mes ancêtres vivaient dans le Nord-Est de la France. Je sais que plusieurs de mes arrière-grands-parents ont quitté leur région pendant l’exode pour aller en France libre. Mais je ne sais pas exactement où ils sont allés, et à quel moment et dans quelles conditions ils sont sais également que plusieurs de mes grands-oncles ou arrières-grands-oncles ont été prisonniers dans des Stalags j’ai retrouvé leurs noms sur les listes de prisonniers, et j’ai retrouvé quelques lettres envoyées depuis ces camps, mais j’aimerais mieux connaître les conditions de leur Pour retracer le parcours militaire de vos ancêtres, le mieux est de commencer par télécharger le livret Comment retrouver une fiche de matricule fait déjà beaucoup d’éléments, mais il manque encore beaucoup d’informations pour pouvoir vraiment retracer l’histoire de chacun de mes ancêtres pendant cette envoyées par mon grand-père pendant la Seconde Guerre MondialeCes dernières années, avec les commémorations du centenaire de 1914-18, nous avons été nombreux à retracer le parcours de nos ancêtres pendant la Première Guerre Mondiale nos ancêtres militaires, mais aussi nos ancêtres civils. Les recherches sur ce conflit ont été en effet grandement facilitées grâce à la mise en ligne des fiches matricules et de nombreuses autres ressources, allant des archives officielles listes de prisonniers, etc. à la numérisation d’archives personnelles et de témoignages de soldats dans le cadre de la Grande pour la Seconde Guerre Mondiale, nous n’avons pas accès aussi facilement aux mêmes ressources. Elles sont encore trop récentes pour être mises en ligne, et il est donc souvent nécessaire de se déplacer pour pouvoir les consulter aux Archives Départementales ou bien au Service Historique de la Défense.Une autre difficulté provient de la diversité des parcours la mobilisation des soldats n’a pas duré pendant toute la guerre. Après l’Armistice de 1940, les parcours des hommes mobilisés ont donc pu être très différents faits prisonniers et envoyés dans les Stalags en Allemagne ;enrôlés dans le cadre du pour aller travailler en Allemagne ;restés mobilisés dans leurs régiments dans le cas des militaires de carrière en particulier ;entrés dans la résistance ;enrôlés de force dans l’Armée Allemande pour les malgré-nous d’Alsace-Moselle ;ou encore réfugiés en France libre pour fuir ces enrôlements civils également ont pu connaître des parcours assez différents et marquants certains ont vécu l’exode pour fuir les zones de combat et l’occupation allemande ;certains sont restés en zone occupée, ou dans les régions annexées d’Alsace-Moselle ;certains ont pu être déportés dans les camps en Allemagne ;beaucoup ont dû faire face à des bombardements et à de nombreuses que les commémorations du Centenaire de la Grande Guerre s’achèvent, et que nous avons beaucoup travaillé à retracer le parcours de nos ancêtres pendant cette période, il est temps que nous commencions à nous intéresser aux parcours de nos ancêtres pendant la Seconde Guerre cela, nous pouvons profiter du fait que la période n’est pas encore trop ancienne pour interroger les membres de nos familles, rechercher et conserver les archives familiales liées à cette période cartes postales, lettres, photographies, etc..De plus, les archives concernant cette période sont nombreuses et commencent pour la plupart à être pouvons donc rechercher les archives relatives à nos ancêtres pendant cette période les fiches matricules peuvent être consultées aux Archives Départementales ou auprès du Centre des archives du personnel militaire de Pau pour les personnes nées après 1921 ;le site Mémoire des Hommes propose différentes bases de données concernant la Seconde Guerre Mondiale les militaires décédés pendant la guerre, les fusillés du Mont-Valérien et les engagés volontaires étrangers en 1939-1940 ;nous pouvons trouver des listes de prisonniers en ligne sur Gallica en particulier ;le Service Historique de la Défense a commencé à mettre en ligne de nombreux inventaires concernant les acteurs et victimes de la Seconde Guerre Mondiale en particulier des dossiers de résistants sur son site internet il reste toutefois nécessaire de se rendre sur place pour les consulter ; ressources sont donc nombreuses pour commencer nos recherches sur cette vous, connaissez-vous le parcours de vos ancêtres pendant la Seconde Guerre Mondiale ? Avez-vous déjà entrepris des recherches sur cette période ?EliseRetrouvez vos ancêtres militaires !Pour partir sur les traces de vos ancêtres militaires, téléchargez gratuitement le livret Retrouvez une fiche de matricule militaire . Pour cela, dites-moi simplement à quelle adresse je dois vous l’envoyer encoredans les régiments. C'est clair . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites. Plus d'options de partage Réponses 10,4K; Créé 12 a; Dernière réponse 1 j; Participants fréquents à ce sujet. 1704. 1188. 879. 824. Participants fréquents à ce sujet. jensen 1 704 posts. juluch 1 188 posts. pierleo 879 posts. flyinngpat 824 posts. Messages populaires.
Chaque année, Israël commémore le 30 novembre le départ contraint des Juifs des pays musulmans. Mais cette année, Gilad Erdan, ambassadeur d’Israël aux Nations Unies, a prié instamment » le Secrétaire-Général de l’ONU Antonio Guterres, de réexaminer la démarche de l’ONU concernant cette question, et de commencer à partager, dans tous les forums de l’Organisation, l’histoire des 850 000 réfugiés juifs expulsés des pays arabes et de l’Iran » » Il y a cinquante-huit ans, les juifs d’Algérie ont quitté leur terre. Contrairement aux pieds noirs, descendants de colons et d’immigrés italiens ou espagnols, ils étaient installés sur cette terre d’Algérie depuis 2000 ans. Pour ces communautés ancestrales de Constantine, de Henchir Fouara, de la région de Tebessa ou de Setif, ce départ vers la métropole, maquillé en retour », fut un cruel déracinement et un déni, un exil. En 1962, rapatriés » quittent l’Algérie précipitamment. Parmi eux, des Européens », des harkis, et juifs adoubés d’une pseudo-identité d’Européens, alors qu’ils étaient parmi les plus anciennes populations indigènes. Ni rapatriés », ni pieds noirs », ni colons, leurs racines étaient en Algérie, et plus largement en Afrique du Nord. De Palestine, de Rome, d’Egypte ou de Cyrénaïque, leur venue était liée à la destruction du Temple par Titus et à la déportation des premiers juifs en Afrique comme esclaves et prisonniers de guerre. Autrement dit, avant l’arrivée du christianisme, qui s’est répandu dans l’Empire romain par le biais des synagogues. Et, a fortiori, longtemps avant l’islam. Plusieurs célébrations permettent de lever le voile, cinquante ans après, sur quelques pans de leur histoire, les blessures infligées, et l’injustice qui leur a été faite. Colloques, conférences et concerts se succèdent, mais il ne semble pas que ce cinquantenaire-là ait trouvé beaucoup d’écho dans les grands médias. » Qu’on reconnaisse la responsabilité de la France dans le drame du 7 octobre 1961, pourquoi pas ? remarque Raphaël Draï 1, originaire de Constantine. Mais qu’au moins, on respecte un principe de réciprocité. Par exemple, qu’on facilite les choses pour que les juifs d’Algérie puissent se rendre sur la tombe de leurs pères dans les cimetières. Ces sont des lieux de mémoire. Sans parler des synagogues et des églises… » Une passionnante exposition intitulée Juifs d’Algérie se tient jusqu’au 27 janvier 2012 au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme 2. Partant d’une représentation de l’Afrique du Nord dans l’Antiquité pour s’achever avec l’exode qui marque l’indépendance de l’Algérie, elle mérite qu’on y envoie ses amis et ses enfants. Elle illustre de façon vivante et pédagogique, grâce à des panneaux très clairs, le parcours mal connu de cette communauté qui a opté pour la France en raison de ses valeurs et en a payé le prix. En outre, un excellent catalogue 3, riche et complet, élargit le champ. La mémoire juive de l’Algérie On aura beau faire, affirme Raphaël Draï, la mémoire de l’Algérie est une mémoire juive. » Mais les amitiés individuelles n’empêchent pas les épreuves collectives et une mémoire douloureuse, comme en témoignent l’expulsion des juifs d’Oran en 1666, le massacre d’Alger en 1805, ou la décapitation du grand rabbin d’Alger, Isaac Aboulker, dix ans plus tard. Beaucoup se plaisent à dater du décret Crémieux la mésentente entre les populations, mais c’est faire peu de cas de la dhimma, qui régissait les non-musulmans dans la loi coranique. En effet, la conquête de l’Algérie, en 1830, mettait fin à trois siècles de domination ottomane. Le décret Crémieux, qui accorde, en 1870, la nationalité française aux populations indigènes, offre aux juifs le moyen de se libérer enfin du statut de dhimmis, de protégés ». Cet affranchissement déclenche autant le ressentiment des musulmans, attachés à leur propre statut, que la fureur des populations européennes » foncièrement antisémites, qui exigent son abrogation — ou du moins, le retrait du droit de vote aux juifs. La hiérarchie des racismes organisait la société, » résume Jacques Tarnero, originaire d’Oran 4 . Au tournant du siècle, l’affaire Dreyfus et la publication du J’accuse d’Emile Zola se traduisent, en Algérie, par une violence inouïe meurtres, viols, assassinats de nourrissons… Une projection de photos au MAHJ donne la mesure de la liesse populaire lors de la visite de Drumont, un des pères fondateurs de l’antisémitisme à la française et élu député d’Alger. La haine des uns nourrit la rancœur des autres. Même si, au moment de la Grande Guerre, juifs d’Algérie, mobilisés dans les régiments de zouaves, se distinguent au combat plus de 1700 morts, un millier de veuves et 560 orphelins certains à Alger nient l’existence du sacrifice, faisant du négationnisme avant la lettre. Dans les années trente, la crise économique aidant, ce sont les juifs que les colons chargent de tous les maux, y compris des revendications nationalistes des musulmans. Des heurts violents éclatent à Alger, Constantine, Oran et Sétif. Et le 5 août 1934, c’est le pogrom de Constantine les musulmans se ruent dans le quartier juif et assassinent, pillent, mutilent, saccagent, comme l’illustrent les documents de l’exposition. Enfin, en 1940, Vichy décide l’abrogation du décret Crémieux, dépouillant les juifs d’Algérie de tout statut officiel jusqu’en 1943. Ils ne se remettront jamais tout à fait de cette trahison. En 1962, c’était la grande époque du photo-journalisme. Michel Salomon, le rédacteur en chef de L’Arche, le mensuel du FSJU qui a cessé de paraître en 2011, avait compris que c’était la photo qui faisait la force du témoignage dans des hebdomadaires comme le Nouvel Observateur et l’Express, sans parler de Paris-Match. Il envoya Bernard Nantet, un jeune reporter photographe, à Marseille et à Orly pour photographier l’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie. Les photos ci-dessous, à Marseille dans le camp de transit du Nouvel Arenas, inédites, attestent de leur désarroi et des conditions de leur accueil. Sur la photo n°4, il est écrit en hébreu Broukhim Habahim, bénis ceux qui viennent », autrement dit soyez les bienvenus. Il s’agit probablement de la salle de prières. L’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie, à Marseille et à Orlyc Bernard Nantet L’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie, à Marseille et à Orly c Bernard Nantet L’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie, à Marseille et à Orly c Bernard Nantet L’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie, à Marseille et à Orly c Bernard Nantet À suivre.. Article initialement publié dans Huffington post.
Page3 sur 40 Les différentes nationalités À la Légion étrangère pendant la Grande Guerre. 1914 - 1918 Le 12 mars 2008 disparaissait le dernier “poilu” survivant de la guerre de 14/18. Lazare Ponticelli avait 110 ans et avec lui s’est éteinte la longue et douloureuse cohorte des quelques 8 millions de jeunes hommes qui ont été
Devise des régiments Legio Patria Nostra » La Légion est Notre PatrieL'origine de cette devise est aujourd'hui mal connue. On ne sait pas exactement quand, ni comment elle est née et a été adoptée. Néanmoins, l'appartenance à cette Patrie, à cette nouvelle famille, n'oblige pas à la répudiation de la première. La Légion étrangère respecte la patrie d’origine du légionnaire et il est parfaitement libre de conserver sa nationalité. À tel point que la Légion demande son accord à tout légionnaire qui pourrait être envoyé sur un théâtre d’opération sur lequel son pays d’origine serait également étrangère HONNEUR ET FIDÉLITÉ » 4e division blindée de la légion étrangère 4e Velite13e Demi-Brigade de la légion étrangère 13e More majorum de la 13e division blindée de la légion étrangère More majorumOpération ORYX de la 13e division blindée de la légion étrangère Restore hope3e compagnie de la 13e division blindée de la légion étrangère 1 More majorum, 2 Dur et pur1er régiment étranger de cavalerie 1er Royal étranger Nec pluribus impar Au dessus de tous, identique à celle du 14e régiment d'infanterie légère Les brigadiers chefs du 1er régiment étranger de cavalerie Honnète et fidèle2e régiment étranger de cavalerie 2e Pericula1er régiment étranger de génie 1 Parfois détruire, souvent construire, toujours servir avec honneur et fidélité, 2 Ad unum jusqu'au dernier 5e compagnie Cum vertute2e régiment étranger de génie Rien n'empêche6e régiment étranger de génie Ad unum Vers l'unité1er régiment étranger d'infanterie 1er bataillon de marche du 1er régiment étranger d'infanterie Vindicta4e bataillon et corps du 1er régiment étranger d'infanterie Honneur, discipline2e régiment étranger d'infanterie Être prêt 2e bataillon du 2e régiment étranger d'infanterie Honneur et fidèlitéTrain blindé du 2e régiment étranger d'infanterie en Aes triplex deo juvanteCompagnie de discipline du 2e régiment étranger d'infanterie, Dura lex sed lex3e régiment étranger d'infanterie 1 France d'abord, 2 Legio patria nostra La légion est notre patrie 3e compagnie du 3e régiment étranger d'infanterie Legio patria nostra La légion est notre patrie6e compagnie du 3e régiment étranger d'infanterie Avec le sourire7e compagnie du 3e régiment étranger d'infanterie Isidore2e bataillon, 8e compagnie du 3e régiment étranger d'infanterie Quo non du 3e régiment étranger d'infanterie 1 Noël, 2 Selva4e régiment étranger d'infanterie 2e bataillon du 4e régiment étranger d'infanterie Nul ne crains5e régiment étranger d'infanterie 1er bataillon du 5e régiment étranger d'infanterie Primus Inter Pares Premier partout3e bataillon du 5e régiment étranger d'infanterie Ne crains rien6e régiment étranger d'infanterie Ad unum Vers l'unité12e régiment étranger d'infanterie Honneur, fidèlité, valeur, disciplineRégiment de marche de la légion étrangère France d'abord1er régiment de marche des volontaires étrangers Servir2e régiment étranger de parachutistes More majorum Sur le modèle des anciens13e demi-brigade de Légion étrangère More majorum Sur le modèle des anciensDétachement de Légion étrangère de Mayotte Pericula ludus Au danger mon plaisir du détachement de légion étrangère de Mayotte Avec le sourirePeloton d’Equipement Mécanique Legio patria nostra La légion est notre patrie40e compagnie de camions bennes Section bateaux pliants Ad ultimum65e compagnie de réparation automobile Legio patria nostra La légion est notre patrie
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