Lesdragons, l’une des créatures fabuleuses et monstrueuses les plus populaires de l’imaginaire, peuplent nos mythes et nos légendes depuis plus de six mille ans. Game of Thrones revient sur
je transfère le post et comme tu le dit ténardier il n'était pas a sa place Re Sidi Bel Abbes par tenardier Hier à 1454je sais que ca n'a rien avoir mais j'ai pas pu m'empecher, trop de souvenirs!!!![url= y a jamais de boudin pour les belges ? sont sympas les belgestenardier Messages 44Date d'inscription 06/04/2010Age 44Localisation Digne les bains par tenardier Hier à 1459C'est nous les descendants des régiments d'AfriqueLes chasseurs, les spahis, les gourmiersGardiens et défenseurs d'empires magnifiquesSous l'ardent soleil chevauchant sans répit nos fiers coursiersToujours prets à servirA vaincre ou à mourirNos coeurs se sont unisPour la Trompette au garde à vous, sonnez à l'étendardEt que fièrement dans le ciel montent nos trois couleursLe souffle de la France anime la fanfareEt met à chacun, un peu d'air du pays au fond du coeurC'est notre volontéDe vaincre ou de lutterDe consacrer nos viesA la Patrie. 3. La piste est difficile et toujours nous appellePar les Monts pelés de Taza, de Ksar's Souk, de MideltL'élan de Bournazel vers le TafilaletSur les Ksour ralliés plantera fièrement nos trois Ensemble nous referons gaiement flotter nos étendartsEt suivrons partout hardiement l'éclat des trois couleursEnsemble nouc reprendrons demain le chemin du départEt pour le pays seront prêts à lutter sans nulle Soldats, toujours devant, toujours la tête haute,Nous serons présents sous la pluie, dans le vent, en avant!L'ennemi nous trouvera le coeur plein de courageEt dans ce combat glorieux revivront tous nos y a jamais de boudin pour les belges ? sont sympas les belges
Cest nous,c’est nous les descendants des régiments d’Afrique, Les chasseurs, les spahis, les goumiers, Gardiens, gardiens et défenseurs d’empires magnifiques Sous l’ardent soleil,
Nous sommes de plus en plus nombreux à nous interroger sur le parcours de nos ancêtres arrière-grands-parents, grands-parents, voire même parents pendant la Seconde Guerre Mondiale, qu’ils aient été acteurs ou victimes de ce conflit. Souvent nous connaissons les grandes lignes de leur parcours et quelques anecdotes. Mais il nous manque généralement des éléments pour pouvoir raconter et transmettre leur on connait plutôt bien cette guerre, car elle est encore proche dans le temps, et elle a fait l’objet de nombreux films qui ont construit notre imaginaire de la période. Mais lorsque l’on cherche à mieux connaître le parcours de nos ancêtres, c’est beaucoup plus les familles, il ne reste que très peu de témoins directs de ce conflit. Et pour toutes les générations nées après la guerre, la mémoire de cette période ne s’est pas toujours bien transmise. Au final, nous ne savons pas forcément bien ce qu’ont vécu nos m’intéresse beaucoup aux parcours de mes grands-parents et arrière-grands-parents durant cette guerre. Bien que je connaisse quelques éléments, il me reste encore beaucoup de questions mon grand-père paternel était gendarme. Il a donc été mobilisé pendant toute la durée de la guerre. J’ai retrouvé sa fiche de matricule militaire qui me donne toutes ses affectations, mais je n’ai pas encore poussé les recherches afin de mieux comprendre son grand-père maternel pour sa part n’a pas été mobilisé, étant doublement dispensé comme fils aîné de veuve d’une part et comme instituteur par ailleurs. Mais vers 1943, il a fini par devoir partir travailler en Allemagne dans le cadre du J’ai la chance d’avoir beaucoup d’informations sur cette période de sa vie car j’ai récupéré les lettres qu’il avait écrites à ma grand-mère pendant qu’il était en Allemagne. Cela fait beaucoup d’informations à analyser et il me faudrait les compléter avec des sources plus ailleurs, tous mes ancêtres vivaient dans le Nord-Est de la France. Je sais que plusieurs de mes arrière-grands-parents ont quitté leur région pendant l’exode pour aller en France libre. Mais je ne sais pas exactement où ils sont allés, et à quel moment et dans quelles conditions ils sont sais également que plusieurs de mes grands-oncles ou arrières-grands-oncles ont été prisonniers dans des Stalags j’ai retrouvé leurs noms sur les listes de prisonniers, et j’ai retrouvé quelques lettres envoyées depuis ces camps, mais j’aimerais mieux connaître les conditions de leur Pour retracer le parcours militaire de vos ancêtres, le mieux est de commencer par télécharger le livret Comment retrouver une fiche de matricule fait déjà beaucoup d’éléments, mais il manque encore beaucoup d’informations pour pouvoir vraiment retracer l’histoire de chacun de mes ancêtres pendant cette envoyées par mon grand-père pendant la Seconde Guerre MondialeCes dernières années, avec les commémorations du centenaire de 1914-18, nous avons été nombreux à retracer le parcours de nos ancêtres pendant la Première Guerre Mondiale nos ancêtres militaires, mais aussi nos ancêtres civils. Les recherches sur ce conflit ont été en effet grandement facilitées grâce à la mise en ligne des fiches matricules et de nombreuses autres ressources, allant des archives officielles listes de prisonniers, etc. à la numérisation d’archives personnelles et de témoignages de soldats dans le cadre de la Grande pour la Seconde Guerre Mondiale, nous n’avons pas accès aussi facilement aux mêmes ressources. Elles sont encore trop récentes pour être mises en ligne, et il est donc souvent nécessaire de se déplacer pour pouvoir les consulter aux Archives Départementales ou bien au Service Historique de la Défense.Une autre difficulté provient de la diversité des parcours la mobilisation des soldats n’a pas duré pendant toute la guerre. Après l’Armistice de 1940, les parcours des hommes mobilisés ont donc pu être très différents faits prisonniers et envoyés dans les Stalags en Allemagne ;enrôlés dans le cadre du pour aller travailler en Allemagne ;restés mobilisés dans leurs régiments dans le cas des militaires de carrière en particulier ;entrés dans la résistance ;enrôlés de force dans l’Armée Allemande pour les malgré-nous d’Alsace-Moselle ;ou encore réfugiés en France libre pour fuir ces enrôlements civils également ont pu connaître des parcours assez différents et marquants certains ont vécu l’exode pour fuir les zones de combat et l’occupation allemande ;certains sont restés en zone occupée, ou dans les régions annexées d’Alsace-Moselle ;certains ont pu être déportés dans les camps en Allemagne ;beaucoup ont dû faire face à des bombardements et à de nombreuses que les commémorations du Centenaire de la Grande Guerre s’achèvent, et que nous avons beaucoup travaillé à retracer le parcours de nos ancêtres pendant cette période, il est temps que nous commencions à nous intéresser aux parcours de nos ancêtres pendant la Seconde Guerre cela, nous pouvons profiter du fait que la période n’est pas encore trop ancienne pour interroger les membres de nos familles, rechercher et conserver les archives familiales liées à cette période cartes postales, lettres, photographies, etc..De plus, les archives concernant cette période sont nombreuses et commencent pour la plupart à être pouvons donc rechercher les archives relatives à nos ancêtres pendant cette période les fiches matricules peuvent être consultées aux Archives Départementales ou auprès du Centre des archives du personnel militaire de Pau pour les personnes nées après 1921 ;le site Mémoire des Hommes propose différentes bases de données concernant la Seconde Guerre Mondiale les militaires décédés pendant la guerre, les fusillés du Mont-Valérien et les engagés volontaires étrangers en 1939-1940 ;nous pouvons trouver des listes de prisonniers en ligne sur Gallica en particulier ;le Service Historique de la Défense a commencé à mettre en ligne de nombreux inventaires concernant les acteurs et victimes de la Seconde Guerre Mondiale en particulier des dossiers de résistants sur son site internet il reste toutefois nécessaire de se rendre sur place pour les consulter ; ressources sont donc nombreuses pour commencer nos recherches sur cette vous, connaissez-vous le parcours de vos ancêtres pendant la Seconde Guerre Mondiale ? Avez-vous déjà entrepris des recherches sur cette période ?EliseRetrouvez vos ancêtres militaires !Pour partir sur les traces de vos ancêtres militaires, téléchargez gratuitement le livret Retrouvez une fiche de matricule militaire . Pour cela, dites-moi simplement à quelle adresse je dois vous l’envoyer
encoredans les régiments. C'est clair . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites. Plus d'options de partage Réponses 10,4K; Créé 12 a; Dernière réponse 1 j; Participants fréquents à ce sujet. 1704. 1188. 879. 824. Participants fréquents à ce sujet. jensen 1 704 posts. juluch 1 188 posts. pierleo 879 posts. flyinngpat 824 posts. Messages populaires.
Chaque année, Israël commémore le 30 novembre le départ contraint des Juifs des pays musulmans. Mais cette année, Gilad Erdan, ambassadeur d’Israël aux Nations Unies, a prié instamment » le Secrétaire-Général de l’ONU Antonio Guterres, de réexaminer la démarche de l’ONU concernant cette question, et de commencer à partager, dans tous les forums de l’Organisation, l’histoire des 850 000 réfugiés juifs expulsés des pays arabes et de l’Iran » » Il y a cinquante-huit ans, les juifs d’Algérie ont quitté leur terre. Contrairement aux pieds noirs, descendants de colons et d’immigrés italiens ou espagnols, ils étaient installés sur cette terre d’Algérie depuis 2000 ans. Pour ces communautés ancestrales de Constantine, de Henchir Fouara, de la région de Tebessa ou de Setif, ce départ vers la métropole, maquillé en retour », fut un cruel déracinement et un déni, un exil. En 1962, rapatriés » quittent l’Algérie précipitamment. Parmi eux, des Européens », des harkis, et juifs adoubés d’une pseudo-identité d’Européens, alors qu’ils étaient parmi les plus anciennes populations indigènes. Ni rapatriés », ni pieds noirs », ni colons, leurs racines étaient en Algérie, et plus largement en Afrique du Nord. De Palestine, de Rome, d’Egypte ou de Cyrénaïque, leur venue était liée à la destruction du Temple par Titus et à la déportation des premiers juifs en Afrique comme esclaves et prisonniers de guerre. Autrement dit, avant l’arrivée du christianisme, qui s’est répandu dans l’Empire romain par le biais des synagogues. Et, a fortiori, longtemps avant l’islam. Plusieurs célébrations permettent de lever le voile, cinquante ans après, sur quelques pans de leur histoire, les blessures infligées, et l’injustice qui leur a été faite. Colloques, conférences et concerts se succèdent, mais il ne semble pas que ce cinquantenaire-là ait trouvé beaucoup d’écho dans les grands médias. » Qu’on reconnaisse la responsabilité de la France dans le drame du 7 octobre 1961, pourquoi pas ? remarque Raphaël Draï 1, originaire de Constantine. Mais qu’au moins, on respecte un principe de réciprocité. Par exemple, qu’on facilite les choses pour que les juifs d’Algérie puissent se rendre sur la tombe de leurs pères dans les cimetières. Ces sont des lieux de mémoire. Sans parler des synagogues et des églises… » Une passionnante exposition intitulée Juifs d’Algérie se tient jusqu’au 27 janvier 2012 au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme 2. Partant d’une représentation de l’Afrique du Nord dans l’Antiquité pour s’achever avec l’exode qui marque l’indépendance de l’Algérie, elle mérite qu’on y envoie ses amis et ses enfants. Elle illustre de façon vivante et pédagogique, grâce à des panneaux très clairs, le parcours mal connu de cette communauté qui a opté pour la France en raison de ses valeurs et en a payé le prix. En outre, un excellent catalogue 3, riche et complet, élargit le champ. La mémoire juive de l’Algérie On aura beau faire, affirme Raphaël Draï, la mémoire de l’Algérie est une mémoire juive. » Mais les amitiés individuelles n’empêchent pas les épreuves collectives et une mémoire douloureuse, comme en témoignent l’expulsion des juifs d’Oran en 1666, le massacre d’Alger en 1805, ou la décapitation du grand rabbin d’Alger, Isaac Aboulker, dix ans plus tard. Beaucoup se plaisent à dater du décret Crémieux la mésentente entre les populations, mais c’est faire peu de cas de la dhimma, qui régissait les non-musulmans dans la loi coranique. En effet, la conquête de l’Algérie, en 1830, mettait fin à trois siècles de domination ottomane. Le décret Crémieux, qui accorde, en 1870, la nationalité française aux populations indigènes, offre aux juifs le moyen de se libérer enfin du statut de dhimmis, de protégés ». Cet affranchissement déclenche autant le ressentiment des musulmans, attachés à leur propre statut, que la fureur des populations européennes » foncièrement antisémites, qui exigent son abrogation — ou du moins, le retrait du droit de vote aux juifs. La hiérarchie des racismes organisait la société, » résume Jacques Tarnero, originaire d’Oran 4 . Au tournant du siècle, l’affaire Dreyfus et la publication du J’accuse d’Emile Zola se traduisent, en Algérie, par une violence inouïe meurtres, viols, assassinats de nourrissons… Une projection de photos au MAHJ donne la mesure de la liesse populaire lors de la visite de Drumont, un des pères fondateurs de l’antisémitisme à la française et élu député d’Alger. La haine des uns nourrit la rancœur des autres. Même si, au moment de la Grande Guerre, juifs d’Algérie, mobilisés dans les régiments de zouaves, se distinguent au combat plus de 1700 morts, un millier de veuves et 560 orphelins certains à Alger nient l’existence du sacrifice, faisant du négationnisme avant la lettre. Dans les années trente, la crise économique aidant, ce sont les juifs que les colons chargent de tous les maux, y compris des revendications nationalistes des musulmans. Des heurts violents éclatent à Alger, Constantine, Oran et Sétif. Et le 5 août 1934, c’est le pogrom de Constantine les musulmans se ruent dans le quartier juif et assassinent, pillent, mutilent, saccagent, comme l’illustrent les documents de l’exposition. Enfin, en 1940, Vichy décide l’abrogation du décret Crémieux, dépouillant les juifs d’Algérie de tout statut officiel jusqu’en 1943. Ils ne se remettront jamais tout à fait de cette trahison. En 1962, c’était la grande époque du photo-journalisme. Michel Salomon, le rédacteur en chef de L’Arche, le mensuel du FSJU qui a cessé de paraître en 2011, avait compris que c’était la photo qui faisait la force du témoignage dans des hebdomadaires comme le Nouvel Observateur et l’Express, sans parler de Paris-Match. Il envoya Bernard Nantet, un jeune reporter photographe, à Marseille et à Orly pour photographier l’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie. Les photos ci-dessous, à Marseille dans le camp de transit du Nouvel Arenas, inédites, attestent de leur désarroi et des conditions de leur accueil. Sur la photo n°4, il est écrit en hébreu Broukhim Habahim, bénis ceux qui viennent », autrement dit soyez les bienvenus. Il s’agit probablement de la salle de prières. L’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie, à Marseille et à Orlyc Bernard Nantet L’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie, à Marseille et à Orly c Bernard Nantet L’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie, à Marseille et à Orly c Bernard Nantet L’arrivée des nouveaux immigrants, les juifs d’Algérie, à Marseille et à Orly c Bernard Nantet À suivre.. Article initialement publié dans Huffington post.
Page3 sur 40 Les différentes nationalités À la Légion étrangère pendant la Grande Guerre. 1914 - 1918 Le 12 mars 2008 disparaissait le dernier “poilu” survivant de la guerre de 14/18. Lazare Ponticelli avait 110 ans et avec lui s’est éteinte la longue et douloureuse cohorte des quelques 8 millions de jeunes hommes qui ont été